Il est assez curieux de constater le silence des médias parisiens et de toute la bande de brigands vérificateurs de l’information, après la diffusion des contrats de vente des vaccins en Afrique du Sud ! Pourtant, les révélations dans ses contrats sont fracassantes étant donné qu’il y est écrit noir sur blanc qu’il n’y a aucune garantie d’efficacité des injections et encore moins une garantie de sécurité à cause de l’ultra rapidité de la production. C’est tellement évident et catégorique qu’ils ont estimé nécessaire de se protéger contre tout risque d’effets indésirables en faisant prendre en charge par l’État les dommages corporels, allant jusqu’à faire payer leurs propres avocats par l’État signataire !
Nous avons donc 2 faces de la même fausse pièce. D’un côté vous avez la propagande officielle du ministre de la Santé et des autres corrompus des institutions nous expliquant que les injections sont ultra efficaces et sans effets secondaires, comme vient de le refaire Aurélien Rousseau sur France Inter face à Léa Salamé. De l’autre côté vous avez la réalité des contrats signés qui stipulent exactement l’inverse !
On comprend maintenant pourquoi les autorités occidentales ont refusé de divulguer le contenu de ces contrats contrairement à la décision de la cour de justice de Pretoria qui a décidé, le 17 août 2023, de les rendre publics.
Les révélations sont explosives puisque nous apprenons dans ce texte que le “produit” et non le vaccin “Peut ne pas être couronné de succès en raison de difficultés ou d’échecs techniques, cliniques, réglementaires, de fabrication, d’expédition, de stockage ou d’autres problèmes.” !!! Rien que ça. Ils ajoutent qu’ils ne seront pas responsables si la date de livraison n’est pas respectée et que l’État signataire ne peut même pas annuler le contrat en cas de non-livraison ! Ce n’est pas un contrat de vente, mais un contrat de prostitution qui est certainement une première dans l’histoire du commerce mondial. C’est l’article 8.1 qui parle de la protection de Pfizer en cas de problème. En d’autres termes, l’État signataire donne toutes les garanties au fabricant pour un produit qui n’est même pas sûr de fonctionner ! C’est du jamais vu.
Ce sont les États qui ont signé ce contrat complètement fou, qui ont mis en place toute une propagande, toute une Doxa pour criminaliser toute réflexion à l’encontre de cette gestion catastrophique de la crise sanitaire. Pourtant, la réalité est aujourd’hui bien pire que les théories “complotistes” d’hier. Enfin, pour tout l’or du monde, on n’aimerait pas être à la place des membres du corps médical qui se sont soumis à cette gigantesque mascarade aux conséquences sanitaires dramatiques. Quelle honte ?
Lettre-schroeter-conseil-federal-septembre-2023-
L’homme de loi dénonce ce qui, pour lui, relève du charlatanisme et de la mise en danger d’autrui, en pointant du doigt non seulement le mantra du vaccin Covid « sûr et efficace » mais également l’inaction des autorités par rapport à ses mises en garde précédentes, toujours restées sans réponse.
Nous reproduisons ci-dessous l’intégralité de la lettre de Me Schroeter ainsi que le contrat entre Pfizer et l’Afrique du Sud signé en mars 2021.
Extraits
Le contrat Pfizer confirme que nos autorités (qui réclamaient la confiance des citoyens) ne savaient pas si le produit allait fonctionner et n’avaient aucune connaissance sur les conséquences à long terme de la campagne sanitaire mise en place.
Les termes que nous découvrons dans le contrat accablent définitivement tous ceux qui, comme vous, ont prétendu qu’il s’agissait d’un vaccin définitif et que tout allait bien, alors que vous saviez que ce n’était pas le cas ! Dans le document, aucune trace d’un produit efficace à 95%, bien au contraire. Il en résulte que tous ceux qui l’ont dit et qui ont poussé ainsi les citoyens à se faire vacciner répondent des nombreux préjudices que ces derniers ont subis. Dire que quelque chose vous soigne à 95% alors que ce n’est pas le cas n’est rien d’autre que du charlatanisme.
Voir Lettre intégrale de Me Schroeter
2 octobre 2023