On prend les plus mauvais, les plus incompétents, les plus nuls et on recommence ! Alors que le taux d’incidence du SARS-Cov-2 est de 82, la moitié de celui exigé à une grippe saisonnière pour déclarer une épidémie, le directeur général de l’ARS IdF ment en faisant croire que nous allons mourir en grand nombre si on ne réduit pas massivement nos interactions sociales ! Le confinement ne sert à RIEN, on le sait, il aggrave la situation mais Aurélien Rousseau ne le sait pas. Il faut dire qu’il est tellement bien payé, qu’il ne craint pas grand chose des conséquences économiques dramatiques du confinement. Même l’OMS déconseille aujourd’hui le confinement mais ça Aurélien Rousseau ne le sait pas non plus !
Quand on est mauvais on est mauvais, on peut être diplômé, on reste mauvais.
Aurélien Rousseau craint que les Français aient « moins peur » et s’exposent plus au coronavirus.
Plus de 4 000 malades du Covid-19 sont désormais en réanimation ou soins intensifs, avec une hausse continue du nombre d’admissions dans ces services sur 24 heures, selon les chiffres de Santé publique France. « Il faut réduire massivement nos interactions sociales », a appelé jeudi 5 novembre sur franceinfo Aurélien Rousseau, directeur général de l’ARS d’Île-de-France. « On a le sentiment que par rapport au premier confinement nos concitoyens ont moins peur et ont moins compris à quel point il y a urgence à réduire nos interactions. » Une « insouciance collective » qu’évoquait le matin même sur franceinfo Djillali Annane, chef du service de médecine intensive et réanimation à l’hôpital Raymond Poincaré de Garches.
franceinfo : Anne Hidalgo annonce la fermeture de certains débits de boisson, épiceries et restaurants faisant de la vente à emporter à partir de 22 heures pour éviter les attroupements en île-de-France. Attendiez-vous une telle mesure ?
Aurélien Rousseau : Depuis le début, on essaie d’adapter les mesures en fonction de ce que l’on constate. On a constaté qu’il pouvait y avoir des regroupements, des rassemblements, donc cette mesure on l’a travaillée avec le préfet de police, les élus. On déclenche les mesures quand elles sont nécessaires, quand on constate qu’il y a des trous dans notre dispositif. Il faut manier la conviction et les mesures coercitives parce que malheureusement il y a urgence à répondre pour freiner les contaminations et l’impact sur les hôpitaux. Il faut réduire massivement nos interactions sociales. On a le sentiment que par rapport au premier confinement nos concitoyens ont moins peur et ont moins compris à quel point il y a urgence à réduire nos interactions. Même si on est masqué, aller dans un commerce c’est croiser des gens et prendre un peu plus de risque.
Quel est le taux d’occupation dans les hôpitaux ?
On a 92% de notre capacité initiale, c’est-à-dire presque 1 050 patients qui sont en réanimation avec le Covid et on a par ailleurs 600 patients en réanimation sans le Covid. On a 3 700 patients qui sont dans les services de médecine, c’est quelque chose que l’on n’avait pas vécu aussi fortement à la première vague. Cela veut dire qu’on a des protocoles, des prises en charges, qu’on a progressé dans notre connaissance du virus, qu’on arrive à mieux répartir entre l’hospitalisation conventionnelle et la réanimation.
« C’est une pression inouïe, sur l’hôpital et les soignants. Hier, on a eu 84 décès dans les hôpitaux en Île-de-France. »
Aurélien Rousseau, directeur général de l’ARS d’Île-de-France
à franceinfo
La cote d’alerte est-elle atteinte ?
La cote d’alerte est atteinte parce que pour faire face chaque jour on doit déprogrammer un peu plus d’activité. On sait que pour prendre en charge le Covid, il ne faut pas qu’on repousse la prise en charge d’autres malades et on essaie de concilier les deux. C’est pour ça que la déprogrammation est plus progressive que lors de la première vague. La médecine de ville aussi joue un rôle essentiel de repérage et d’orientation, donc il ne faut pas renoncer à aller chez son médecin ou dans les hôpitaux pour d’autres motifs que le Covid.
Photo d’illustration : Aurélien Rousseau, directeur général de l’ARS d’Île-de-France, le 23 octobre 2020. (LUDOVIC MARIN / POOL / AFP)
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5 novembre 2020
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