Voilà comment on reconnaît un pays à la dérive, un pays gouverné et dirigé par des idéologues dangereux qui ne se basent pas sur la science, encore moins sur la raison, avant de prendre des décisions graves. La France est le dernier pays au monde à avoir levé cette obligation vaccinale et encore, ce n’est toujours pas effectif puisque le décret n’a pas encore été signé. Cette décision de la HAS de suspendre cette obligation vaccinale est d’autant plus ridicule que la France, selon le réseau Sentinelles, connaît, depuis un mois, en semaine 12, une augmentation du taux d’incidence du Covid-19 ! Mais il faut dire qu’avec un vaccin qui n’empêche pas la maladie et encore moins la transmission, sachant que 81 % des malades ayant consulté des médecins du réseau sentinelles ont été injectés, maintenir cette obligation est d’une profonde stupidité.
Faut-il rappeler que, gouvernés par des malades mentaux, les mêmes délires peuvent revenir. Afin de se préserver d’une nouvelle phase hystérique, il faudra absolument juger les corrompus et les incompétents qui ont affaibli l’hôpital public et ont interdit à des personnels soignants diplômés d’exercer leur métier. Faut-il rappeler qu’en France, il fallait tomber malade pour pouvoir exercer son métier alors qu’un personnel soignant en parfaite santé qui n’a jamais eu le Covid-19 n’avait pas le droit de travailler depuis le 15 septembre 2021 !
Enfin, comme vous pouvez le constater ci-dessous dans la courte vidéo de Cniouzes, vous allez pouvoir voir le visage hideux du mensonge et de la lâcheté en la personne de Monsieur Philippe Guibert qui, toute honte bue, annonce qu’il ne savait pas que le personnel soignant suspendu n’avait absolument aucun revenu ! Il affirme qu’il vient de l’apprendre ; et pourtant, il chronique tous les jours depuis 3 ans, ce qui prouve son incompétence. Ce genre de retournement de veste va se multiplier dans les prochains jours, mais il va falloir rester vigilant et ne pas pardonner ce qui s’est passé.
Philippe Guibert sur le retour des soignants non-vaccinés : «On a quand même laissé des gens sans ressources pendant 18 mois», dans #HDPros2 pic.twitter.com/QOgMbKi6LK
— CNEWS (@CNEWS) March 30, 2023
Nous saisissons l’occasion de la publication de cet article pour rappeler à quel point le gouvernement a menti et a diffusé de fausses informations tout au long de la crise sanitaire comme l’a fait l’ex-premier ministre Jean Castex qui affirmait sans aucune certitude ni preuve que ceux qui ont reçu 2 doses n’ont plus de chances d’attraper la maladie !
Pour finir, il suffit d’écouter le flot de sottises déversé par Mathias Wargon aujourd’hui sur RMC pour comprendre à quel point ces gens ne font pas de la médecine mais de la politique. Preuve en est, à aucun moment il ne parle des arguments scientifiques concernant l’échec complet de cette campagne d’injections massives d’un produit expérimental qui a démontré son inefficacité ; il n’empêche pas l’infection ni la contamination, c’est factuel, ça décrédibilise complètement l’opération. Sauf que Wargon n’en a que faire de la médecine ou de la science, c’est un politicien qui exige d’ailleurs des remerciements de l’État pour services rendus en bon « capo » du système ! Pour lui, c’est logique, il aurait fallu suspendre ces soignants pour l’éternité ! Pendant ce temps, des malades français décèdent dans les couloirs des urgences régulièrement depuis des mois…
La Haute autorité de santé (HAS) a recommandé jeudi 30 mars de « lever l’obligation de vaccination » contre le Covid pour les soignants et le ministre de la Santé François Braun a déclaré à l’AFP qu’il « suivra(it) cet avis ».
En vigueur depuis 18 mois, l’obligation vaccinale contre le Covid touche à sa fin. La HAS a en effet revu sa doctrine et suggère désormais que l’injection «soit fortement recommandée» pour les professionnels concernés.
Je suivrai l’avis de cette autorité scientifique.
François Braun, ministre de la Santé
« Je suivrai l’avis de cette autorité scientifique », a réagi François Braun, promettant de «concerter les fédérations hospitalières et les ordres des professions de santé pour définir les modalités de mise en œuvre» de cette décision, qui fera « rapidement » l’objet d’un décret. Saisie à l’automne par le ministre et par l’Assemblée nationale, la HAS assure que sa «préconisation de lever l’obligation de vaccination» contre le Covid « ne constitue en rien une remise en question de ses précédents avis ».
Elle souligne au passage que « la levée d’une obligation vaccinale pour les professionnels ne remet pas en question l’intérêt de cette vaccination ». Son avis sonne néanmoins le glas d’une mesure controversée, imposée en pleine crise sanitaire à 2,7 millions de personnes: soignants mais aussi personnels des hôpitaux et des maisons de retraite, ambulanciers, aides à domicile ou encore pompiers. Depuis septembre 2021, ces professionnels doivent attester d’un schéma vaccinal complet (deux, puis trois doses), sous peine d’être suspendus, sans rémunération.
Un dossier sensible
Une minorité de réfractaires était encore dans ce cas mi-mars : « autour de 0,3% des agents » hospitaliers d’après le ministère, moins de 2000 chez les libéraux selon l’Assurance maladie. La question de leur réintégration est cependant devenue un cheval de bataille politique, notamment pour La France insoumise et le Rassemblement national.
Au-delà de ce dossier sensible, la HAS a passé en revue d’autres vaccinations obligatoires pour les soignants. Avec des conclusions contrastées. Elle suggère ainsi de lever l’obligation concernant la diphtérie, le tétanos et la poliomyélite, sauf à Mayotte. En revanche, elle conseille de maintenir celle contre l’hépatite B et même de l’étendre aux soignants libéraux « susceptibles d’être exposés à un risque de contamination ».
30 mars 2023