Les propos de Monsieur Christian Ghasarian, professeur d’ethnologie à l’Université de Neuchâtel, ne sont que bon sens et logique. Il rappelle que la propagande pro vaccinale, de plus en plus violente et assumées sur les médias officiels, et dangereuse car elle opère une fracture sociale qui ne pourra que donner lieu à des troubles publics. Traiter les gens qui ne sont pas d’accord avec vous d’irresponsables et de dangers publics est tout sauf intelligent d’autant que c’est faux.
Nous entrons dans une ère où se faire vacciner constitue un nouveau rite de passage dans lequel ceux qui ne se soumettent pas aux injonctions sanitaires décidées par les instances politiques risquent de devenir des citoyens de seconde zone, écrit Christian Ghasarian, professeur d’ethnologie à l’Université de Neuchâtel.
Deux questions s’imposent désormais : jusqu’où fustiger et punir les réticents envers le vaccin et jusqu’où les vaccinés doivent-ils collaborer avec ce qui se met en place ?
Étrange époque où l’on s’habitue peu à peu à voir des gens porter docilement un masque alors qu’il n’y a personne autour (dans sa voiture, dans la forêt, au bord d’un lac…). Un défi à l’intelligence sûrement, un consentement non raisonné évidemment. Comment, devant un tel spectacle, ne pas penser au livre La Fabrication du consentement écrit par Noam Chomsky et Edward Herman en 1988 à propos de l’impact de la propagande médiatique sur les consciences ?
Photo d’illustration : Vérification d’un certificat covid à Genève, le 13 septembre 2021. — © Pierre Albouy/KEYSTONE
14 septembre 2021