La situation est dramatique car il est question de la survie d’une nation. Comment expliquer une chute aussi vertigineuse des naissances en France, un record depuis 1946, c’est-à-dire au sortir de la seconde guerre mondiale ? Au minimum, la raison la plus évidente est le “terrorisme” médiatique quotidien effectué sur des jeunes générations avec une propagande folle qu’elle soit Covid-19, guerre en Ukraine ou climat. Aucune personne douée de raison et normalement constituée n’a envie de faire des enfants dans un monde aussi catastrophique et pourtant, toute cette propagande mensongère est fausse. À quoi cela peut-il bien servir de travailler 2 ans de plus pour la réforme des retraites alors qu’il n’y a plus de naissance, qu’il n’y a plus de renouvellement des générations ?
Reste à savoir maintenant quelle est l’importance des vaccinations d’ARN messager concernant cette baisse de la natalité étant donné que parmi les effets secondaires les plus importants on peut trouver des troubles du cycle menstruel féminin, mais également de la libido masculine ?
On n’avait jamais compté aussi peu de naissances pour un mois de mars depuis que l’on dispose de statistiques. La baisse historique actuelle du nombre de naissances se confirme un peu plus chaque mois.
Toujours moins : la conclusion résume l’évolution du nombre de naissances en France, au fil des mois. En mars dernier, 1 816 bébés sont nés chaque jour sur l’ensemble du pays, d’après les données de l’Insee arrêtées à la fin du mois d’avril. Après un rattrapage des naissances au cours de l’année 2021, l’année 2023 poursuit la baisse observée depuis plusieurs mois.
Depuis 1946, un plus bas historique
L’Insee soulignait en début d’année que l’année 2022 avait enregistré le plus faible nombre de naissances depuis 1946. Depuis, la baisse mensuelle continue. Avec 56 325 naissances par mois, en moyenne, dans l’Hexagone entre avril 2022 et mars 2023, on n’avait de nouveau pas enregistré de bilan aussi bas. Cette moyenne lissée sur douze mois permet de gommer l’effet saisonnier marqué d’un mois sur l’autre. Le rythme a varié, mais la baisse de cette moyenne a été quasiment continue ces dernières années, depuis un plateau autour de 66 000 naissances mensuelles au début des années 2010.
Record pour un mois de mars
En nombre brut de naissances pour un mois donné, depuis 2015, un seul mois affiche un total moins élevé que celui de mars 2023 : janvier 2021. Nous étions alors neuf mois après le confinement total de mars et avril 2020, une période marquée par une baisse des conceptions. En se concentrant sur les seuls mois de mars, l’institut de la statistique publique constate que « le niveau de naissances de mars 2023 est le plus faible enregistré depuis 1994 », date des premières données disponibles pour la France entière, intégrant les outre-mer.? Le constat est le même pour les données de l’Hexagone depuis 1946…