Avant toute chose, on aimerait bien savoir pourquoi cette information importante n’a pas encore fait la « une » des médias hexagonaux ? Deuxièmement, il faut bien comprendre que lorsqu’un vaccin est obligatoire, c’est l’État qui paye les dégâts et non plus les laboratoires pharmaceutiques. Pire encore, le système de santé va expliquer à ces pauvres petites gamines que tout ceci se passe dans leur tête ou que leur maladie n’est qu’une malheureuse coïncidence. Et pour obtenir gain de cause, il leur faudra engager une procédure judiciaire pénible et coûteuse qui va durer une bonne petite décennie quand on connaît les moyens financiers immenses de Big Pharma qui va faire jouer toutes les techniques de procédure via ses avocats rompus à cet exercice, afin de tout ralentir. Ce syndicat du crime pharmaceutique est tellement puissant qu’il arrive à imposer sa loi dans tous les pays européens sans la moindre difficulté.
Si vous trouvez l’expression « syndicat du crime » excessive, il ne vous reste plus qu’à lire l’excellent livre de Monsieur Peter C. Goetzsche, Remèdes mortels et crime organisé. Peut-être comprendriez vous enfin la gravité de la situation…
450 filles victimes du vaccin Gardasil oubliées, et dont la confiance a désormais été minée
Le 9 juillet 2018, des centaines de victimes du vaccin HPV sont descendues dans la rue et devant le « Leicester House » pour protester, tandis que le professeur Frazier, l’un des co-inventeurs du vaccin a prononcé un discours à proximité du « Royal College of Physicians ».
Au cours de cette manifestation, 3 victimes du vaccin Gardasil sont tombées malades. Deux d’entre elles ont fait des crises et ont dû être transportées à l’hôpital.
Au cours de la vidéo qui suit, on peut voir l’une de ces jeunes-filles pendant sa crise.
Cette manifestation de protestation a été censurée par les médias « grand public » sponsorisés par les entreprises.
Les survivants irlandais du Gardasil ont décidé de s’unir
Le groupe de soutien R.E.G.R.E.T. a été lancé en 2015 en Irlande par des parents d’adolescentes atteintes de maladies chroniques. Ces parents attribuent la maladie de leurs filles à la vaccination qu’elles ont reçue à l’école. Il s’agit du vaccin Gardasil commercialisé en tant que vaccin contre le cancer du col de l’utérus. R.E.G.R.E.T. est un acronyme pour « Réactions et effets du Gardasil entraînant un traumatisme extrême ».
Fiona Kirby avec les manifestants devant la Haute Cour (Irish Examiner)
Fiona Kirby, infirmière de Kilbegan (Comté de Westmeath) a comparu devant la Haute Cour de Dublin en 2016. Elle s’est battue devant la Haute Cour pour demander que l’autorité de réglementation des produits de santé retire de la vente le vaccin contre le HPV en Irlande.
Cette maman d’une fille dont la santé a été endommagée par le vaccin, a juré de ne pas interrompre ses efforts. L’Irlande est, en fait, un des rares pays de l’Union Européenne à ne pas avoir de programme d’indemnisation pour les dommages dus aux vaccins.
Controverse politique en Irlande au sujet du vaccin Gardasil : les parents n’ont pas été informés des risques du vaccin
Les parents irlandais sont notamment en désaccord avec le fait qu’il n’y a pas eu de consentement éclairé depuis l’introduction du vaccin contre le HPV dans le pays. En fait, l’Irsish Health Authority (HSE) a expressément demandé aux prestataires de soins locaux de ne pas transmettre la notice aux patients.
Au lieu de cela c’est une version diluée, dont les éléments avaient été soigneusement sélectionnés qui avait été donnée aux parents. Cette version exagérait les informations en faveur de la vaccination et minimisait les risques d’effets indésirables. Le sénateur irlandais Paschal Mooney a critiqué la forme de consentement illégale qui accompagnait ces vaccins en Irlande.
Brian Shilhavy, Health Impact
Source: Vaccine Impact