
Il est simple de le constater tous les jours, tant c’est visible au point d’agresser le regard. La taille des shorts étant de plus en plus courte puisque l’on aperçoit la doublure des poches et que le pli fessier est largement plus bas que le short, nous ne sommes plus dans le cadre d’une tenue scolaire correcte mais bien dans le grand n’importe quoi. C’est la tenue en général de la prostituée qui veut aguicher le client en faisant du racolage sur le trottoir. C’est d’ailleurs ce qui va se passer au lycée avec une excitation extrême des garçons qui vont y perdre beaucoup au niveau de leur assiduité et de leur concentration. D’autant que la situation est déjà très grave car selon le professeur Israël Nisand, il y a des fellations collectives dans les collèges pratiquées par des enfants de 10 – 12 ans !!!
Nous savons également que depuis l’introduction de la mixité au sein de l’école, le niveau scolaire a sévèrement chuté à cause justement de l’intérêt que peuvent porter les garçons aux filles. Il est intéressant également de constater que dans certaines des plus grandes écoles parisiennes, la mixité est évitée.
Porteuses de jupes jugées « trop courtes », des lycéennes de Sète ont été renvoyées chez elles depuis la rentrée de septembre.
La proviseure estimait que ces tenues « indécentes et impudiques », pouvaient « perturber ou déconcentrer » leurs camarades masculins.
Leurs tenues étaient jugées « indécentes » par la proviseure du lycée, elles ont été renvoyées chez elles. À Sète, dans l’Hérault, la nouvelle directrice du lycée Jean-Moulin de la ville a interdit à plusieurs dizaines de lycéennes de son établissement d’aller en cours à cause de shorts jugés « trop courts »
Comme le précise France 3 Hérault, la proviseure a fait valoir aux jeunes filles incriminées que leurs tenues « indécentes et impudiques », pouvaient « perturber ou déconcentrer » leurs camarades masculins.
Les températures du mois de septembre étant assez élevées certaines lycéennes portaient des shorts ou des hauts moulants. Elles ont donc été priées d’aller se changer chez elles avant de pouvoir entrer en classe. De nombreux professeurs et personnels du lycée soutiennent l’action de la proviseure, estimant que les lycéens « ont besoin de cadres précis et ils doivent respecter les règles et règlements ».
Néanmoins, la polémique a essaimé sur les réseaux sociaux, de nombreux internautes reprochant une forme de sexisme à la directrice qui visaient uniquement les tenues des jeunes femmes et non celles des garçons.
De son côté, le rectorat a réagi par le biais d’un communiqué. « Il n’y a pas d’interdiction du port du short ou tee-shirt moulant dans cet établissement. Aucune modification du règlement intérieur n’est survenue depuis la rentrée 2018-2019. Pour être modifié, un règlement intérieur doit être validé en conseil d’administration et soumis aux autorités académiques. Le règlement du lycée Jean-Moulin stipule qu’une tenue et un comportement convenables et adaptés sont demandés à tous. Ce dernier concerne les filles comme les garçons », a-t-il fait savoir.
France Soir