Nous profitons de cet article pour rappeler à nos lecteurs que le monde n’est pas noir ou blanc et que les BRICS encadrent leur développement économique sur le modèle occidental actuel de la mascarade climatiste ainsi que sur l’ONU ! Il est question très souvent de “changement climatique” qui est mentionné 18 fois dans leur rapport ! Ils utilisent exactement les mêmes termes de développement durable, de mise en place de l’agenda 2030, de l’utilisation de l’escroquerie des partenariat public-privé, en donnant encore du crédit à l’OMC et au FMI, pire encore de “gouvernance mondiale”… Bref, on a l’impression que ça a été écrit par le WEF de Klaus Schwab !
En lisant ces termes identiques à ceux du modèle atlantiste, en comprend que les BRICS sont une gigantesque escroquerie, la 2e face d’une fausse pièce, d’une monnaie corrompue. Les preuves sont nombreuses puisque vous pourrez les consulter ci-dessous dans cet article et c’est vraiment très inquiétant, dans tous les cas, il faut prendre en considération ce que les gens écrivent et ce que représente leur projet.
Le quinzième sommet annuel des BRICS s’est tenu fin août à Johannesburg, en Afrique du Sud.
Vous en avez probablement entendu parler.
Dans le cadre des festivités, les États membres ont signé la “Déclaration de Johannesburg II – Les BRICS et l’Afrique : Partenariat pour une croissance mutuellement accélérée, un développement durable et un multilatéralisme inclusif”. (Le lien renvoie à une version anglaise du document hébergée par Kremlin.ru.)
En voici un bref résumé :
L’ONU est la pierre angulaire du “système international”, et les membres des BRICS s’engagent à la pleine “mise en œuvre de l’Agenda 2030 pour le développement durable.”
“Les partenariats public-privé” contribueront à assurer le “développement durable”, et les BRICS sont enthousiasmés par les travaux de leur groupe de travail sur le partenariat public-privé.
Le FMI et l’OMC sont des organisations appréciées, mais elles doivent être plus “inclusives” et “non discriminatoires”.
“Nous nous engageons à intensifier nos efforts en vue d’améliorer notre capacité collective de prévention, de préparation et de réponse aux pandémies mondiales, et de renforcer notre capacité à lutter collectivement contre de telles pandémies à l’avenir.
Les BRICS vont redoubler d’efforts en matière de “recherche” sur la grippe aviaire.
Le “changement climatique” est mentionné 18 fois.
Les BRICS s’enthousiasment pour la “transformation numérique de l’éducation” et l'”éducation durable”.
Il y a beaucoup d’autres salades de mots qui font du monde un endroit meilleur, plus inclusif et plus durable en établissant des partenariats avec les entreprises et en renforçant la gouvernance mondiale.
Au total, le “développement durable” est mentionné 21 fois. (L’acronyme “SDG” apparaît 6 fois.)
Bien sûr, ce qui rend les BRICS spéciaux et différents, c’est qu’ils promettent de mettre en œuvre un programme mondial amical visant à écraser votre âme d’une “manière intégrée et holistique”.
Déclaration de Johannesburg II – Les BRICS et l’Afrique : Partenariat pour une croissance mutuellement accélérée, un développement durable et un multilatéralisme inclusif (page 16)
Le développement durable était le sujet brûlant de ce sommet. M. Poutine a même commencé son discours au Forum des affaires des BRICS en exprimant l’espoir que la “communauté des affaires” travaillerait à “l’accélération de la croissance socio-économique de nos États et à la réalisation des objectifs de développement durable”.
Le président russe a terminé son discours en faisant l’éloge des BRICS pour avoir favorisé “la réalisation des objectifs de développement mondiaux et des objectifs fixés par les Nations unies”.
source : Kremlin.ru
La dédollarisation a également été un thème majeur de la conférence. Des progrès notables ont été accomplis en vue de l’abandon du dollar : La nouvelle banque de développement des BRICS s’est engagée à augmenter la part des monnaies locales dans ses avoirs et ses transactions. (Plus d’informations à ce sujet dans un autre article du blog).
Et ces monnaies locales seront utilisées pour atteindre les objectifs de développement durable, comme l’explique utilement la banque sur son site web.
source : NDB
Si vous lisez la “stratégie générale” de la banque pour créer un “avenir durable”, l’institution financière explique comment ses projets sont “alignés” sur 11 ODD :
Dans le large spectre des infrastructures et du développement durable, la NDB a diversifié avec succès ses opérations dans une série de domaines clés et d’ODD. À la fin de 2021, les projets de la Banque étaient principalement alignés sur 11 ODD, avec la majorité des financements engagés alignés sur l’ODD 9 sur l’industrie, l’innovation et l’infrastructure (29%), l’ODD 11 sur les villes et communautés durables (15%), l’ODD 8 sur le travail décent et la croissance économique (14%), et l’ODD 7 sur l’énergie abordable et propre (13%). Au cours de la même période, la Banque a engagé 5,2 milliards d’USD dans le financement du climat, ce qui représente 18 % des approbations cumulées. Si l’on exclut les prêts du programme d’urgence COVID-19 accordés par la Banque, le financement climatique représentait 26 % des approbations cumulées de la NDB à la fin de 2021, soit un niveau supérieur à celui observé avant la pandémie à la fin de 2019.
Revenons à la Déclaration de Johannesburg II récemment signée : Iurie Rosca nous a rendu un service inestimable en passant au crible cette déclaration de 26 pages et en soulignant les passages les plus inquiétants. Je partage ci-dessous des extraits de ses conclusions (l’accent est mis par lui) :
“3. Nous réitérons notre engagement en faveur d’un multilatéralisme inclusif et du respect du droit international, y compris les objectifs et les principes inscrits dans la Charte des Nations unies (ONU), qui en est la pierre angulaire indispensable, ainsi que le rôle central de l’ONU dans un système international…”. L’ONU est donc pour eux une autorité incontestable, alors que c’est à travers elle que s’exerce la gouvernance mondiale.
“5….Nous appelons également à accroître le rôle et la part des femmes des EMDC à différents niveaux de responsabilité dans les organisations internationales”. L’accent mis sur le rôle des femmes dans la politique, la société, les affaires, etc. fait partie de l’idéologie féministe en tant que stratégie visant à détruire la famille par la masculinisation des femmes.
“A cet égard, nous soulignons qu’ils devraient être mis en œuvre au niveau de la gouvernance mondiale ainsi qu’au niveau national”. Le terme de gouvernance mondiale implique l’exercice d’un pouvoir mondial à partir d’un centre unique.
“5….Nous appelons également à accroître le rôle et la part des femmes des EMDC à différents niveaux de responsabilité dans les organisations internationales”. Mettre l’accent sur le rôle des femmes dans la politique, la société, les affaires, etc. fait partie de l’idéologie féministe en tant que stratégie visant à détruire la famille par la masculinisation des femmes.
“A cet égard, nous soulignons qu’ils devraient être mis en œuvre au niveau de la gouvernance mondiale ainsi qu’au niveau national”. Le terme de gouvernance mondiale implique l’exercice d’un pouvoir mondial à partir d’un centre unique.
“7. Nous soutenons une réforme globale de l’ONU, y compris de son Conseil de sécurité, en vue de la rendre plus démocratique, plus représentative, plus efficace et plus efficiente, et d’accroître la représentation des pays en développement dans la composition du Conseil afin que celui-ci puisse répondre de manière adéquate aux défis mondiaux actuels et soutenir les aspirations légitimes des pays émergents et en développement d’Afrique, d’Asie et d’Amérique latine, y compris le Brésil, l’Inde et l’Afrique du Sud, à jouer un rôle plus important dans les affaires internationales, en particulier au sein de l’ONU, y compris de son Conseil de sécurité”. La “réforme de l’ONU” est l’appât fondamental pour les dirigeants de ces pays, qui pensent ainsi échapper à la domination de leurs anciens oppresseurs. Mais comme ce ne sont pas les États, mais les entités privées qui déterminent la politique au niveau international, ces changements ne seront probablement que décoratifs.
“Nous réaffirmons notre soutien au système commercial multilatéral ouvert, transparent, juste, prévisible, inclusif, équitable, non discriminatoire et fondé sur des règles, dont l’Organisation mondiale du commerce (OMC) est le cœur, avec un traitement spécial et différencié (TSD) pour les pays en développement, y compris les pays les moins avancés….”. L’acceptation de l’OMC en tant qu’organe de régulation du commerce international est une autre preuve de la subordination de ces pays à la stratégie mondialiste. Toute prétention à obtenir des avantages et des privilèges au sein de cette organisation est une preuve de naïveté flagrante ou d’hypocrisie.
“Nous appelons à la nécessité de progresser vers la mise en place d’un système commercial agricole équitable et axé sur le marché…” L’agriculture vue comme un agrobusiness pour conquérir de nouveaux marchés a déjà ses champions. Monsanto, Vanguard, Black Rock, Bill Gates, George Soros, etc. ils continueront à faire de toutes les terres du monde leur propriété privée. Et le régime de libre-échange et l’adhésion à l’OMC ne récompensent aucune mesure protectionniste au niveau national.
“Nous réaffirmons notre soutien au système commercial multilatéral ouvert, transparent, juste, prévisible, inclusif, équitable, non discriminatoire et fondé sur des règles, dont l’Organisation mondiale du commerce (OMC) est le cœur, avec un traitement spécial et différencié (TSD) pour les pays en développement, y compris les pays les moins avancés….”. L’acceptation de l’OMC en tant qu’organe de régulation du commerce international est une autre preuve de la subordination de ces pays à la stratégie mondialiste. Toute prétention à obtenir des avantages et des privilèges au sein de cette organisation est une preuve de naïveté flagrante ou d’hypocrisie.
“Nous appelons à la nécessité de progresser vers la mise en place d’un système commercial agricole équitable et axé sur le marché…” L’agriculture vue comme un agrobusiness pour conquérir de nouveaux marchés a déjà ses champions. Monsanto, Vanguard, Black Rock, Bill Gates, George Soros, etc. ils continueront à faire de toutes les terres du monde leur propriété privée. Et le régime de libre-échange et l’adhésion à l’OMC ne récompensent aucune mesure protectionniste au niveau national.
“10. Nous sommes en faveur d’un filet de sécurité financier mondial solide avec, en son centre, un Fonds monétaire international (FMI) fondé sur des quotes-parts et doté de ressources adéquates…”. Reconnaître le FMI comme une institution qui aurait un rôle positif pour les pays du monde revient à ignorer complètement ses fonctions et les effets néfastes auxquels sont confrontés tous les pays du monde qui ont accepté de coopérer avec lui.
“13. Nous reconnaissons l’importance d’une participation accrue des femmes aux processus de paix, y compris à la prévention et au règlement des conflits, au maintien de la paix, à la consolidation de la paix, à la reconstruction et au développement après les conflits, et au maintien de la paix…”. Une fois de plus, “la participation accrue des femmes” implique une participation décroissante des femmes à la vie familiale, c’est-à-dire l’inversion féministe des rôles sociaux des hommes et des femmes, qui sont complémentaires et non interchangeables.
“22. Nous condamnons fermement le terrorisme sous toutes ses formes et dans toutes ses manifestations, quels que soient le moment, le lieu et l’auteur. Nous reconnaissons la menace émanant du terrorisme, de l’extrémisme propice au terrorisme et de la radicalisation…” L’adhésion au mythe de la lutte contre le terrorisme, imposée par les mondialistes après le 11 septembre, montre la subordination de ces pays à la stratégie de suppression des libertés au profit d’un Etat policier. Le sacrifice de la liberté au profit de la sécurité est la formule bien connue de cette manœuvre mondialiste.
“25. Nous réaffirmons notre engagement à renforcer la coopération internationale et notre collaboration contre la corruption et continuons à mettre en œuvre les accords internationaux pertinents à cet égard, en particulier la Convention des Nations Unies contre la corruption…” La “lutte contre la corruption” est une vieille astuce mondialiste qui couvre le désir de contrôler totalement la vie privée, les transactions, l’argent et les mouvements de chaque personne au sein d’une prison numérique mondiale.
“Partenariat pour une croissance mutuellement accélérée”. Un slogan séduisant, mais qui ne profite qu’aux entreprises, pas aux États. Il ne présuppose que le libre-échange, qui est censé apporter la prospérité aux nations, alors qu’il ne profite qu’aux requins de l’économie transfrontalière.
“Nous réaffirmons l’importance pour le G20 de continuer à jouer le rôle de premier forum multilatéral dans le domaine de la coopération économique et financière internationale, qui comprend à la fois des marchés développés et émergents et des pays en développement, où les grandes économies cherchent ensemble des solutions aux défis mondiaux…” Reconnaître le “rôle moteur du G20”, c’est condamner tous les pays du monde à un état éternel de vassalité, c’est promouvoir le colonialisme économique comme norme des relations internationales. Cette fois, ce ne sont pas les Etats mais des entités privées qui représentent les colonisateurs du monde.
“31. Nous reconnaissons le rôle important que jouent les pays du BRICS en travaillant ensemble pour faire face aux risques et aux défis qui pèsent sur l’économie mondiale afin de parvenir à une reprise mondiale et à un développement durable. Nous réaffirmons notre engagement à renforcer la coordination des politiques macroéconomiques, à approfondir la coopération économique et à œuvrer à une reprise économique forte, durable, équilibrée et inclusive. Nous soulignons l’importance de la poursuite de la mise en œuvre de la stratégie pour le partenariat économique des BRICS à l’horizon 2025 dans toutes les voies ministérielles et tous les groupes de travail concernés. Nous chercherons à identifier des solutions pour accélérer la mise en œuvre de l’Agenda 2030 pour le développement durable[6].” L’Agenda 2030 mérite d’être lu et relu avec un crayon à la main. Ceux qui s’y soumettent condamnent leurs propres peuples à la mort et à l’esclavage.
“33. Nous reconnaissons le dynamisme de l’économie numérique qui favorise la croissance économique mondiale. Nous reconnaissons également le rôle positif que le commerce et l’investissement peuvent jouer dans la promotion du développement durable, de l’industrialisation nationale et régionale et de la transition vers des modes de consommation et de production durables. Nous reconnaissons les défis auxquels est confronté le développement du commerce et de l’investissement à l’ère numérique et reconnaissons que les membres des BRICS se trouvent à des niveaux différents de développement numérique, et reconnaissons donc la nécessité de relever les défis respectifs, y compris les diverses fractures numériques…”. “L’économie numérique signifie la mort de l’État, de l’économie productive basée sur l’industrie, du “capitalisme de surveillance”, de l’utilisation massive de l’IA, mais aussi d’une énorme masse de chômeurs. Les travailleurs deviennent inutiles dans les conditions de la révolution technologique. C’est pourquoi la masse des chômeurs, “mangeurs inutiles”, doit être soumise à la dépopulation, et les survivants doivent être maintenus sous contrôle par le “tittytainment”, selon la recette de Zbigniew Brzezinski.
“36. Nous nous engageons à renforcer la coopération intra-BRICS pour intensifier le Partenariat des BRICS sur la nouvelle révolution industrielle[7] (PartNIR) et créer de nouvelles opportunités pour accélérer le développement industriel… Nous réitérons notre engagement à poursuivre les discussions sur la création du BCIC en coopération avec l’ONUDI pour soutenir conjointement le développement des compétences de l’industrie 4.0 parmi les pays des BRICS et pour promouvoir les partenariats et l’augmentation de la productivité dans la nouvelle révolution industrielle. Nous nous réjouissons de la coopération avec l’ONUDI et demandons au groupe consultatif PartNIR de se coordonner avec l’ONUDI”. Cet article montre sans équivoque que les pays BRICS sont totalement assujettis au WEF et soumis à la même “révolution technologique mondialiste” prêchée par Klaus Schwas, Yuval Noah Harrari et d’autres représentants de l’élite mondiale. Cela signifie, selon leurs explications, que “l’expression “fusion des mondes numérique, biologique et physique” fait référence à l’intégration de la technologie, de la biologie et des objets physiques de manière transparente. Cette intégration est rendue possible par l’internet des objets (IoT), l’intelligence artificielle (IA) et d’autres technologies de pointe”. Par conséquent, bienvenue dans un avenir dystopique ! Les portes de l’enfer sont ouvertes ! Vous pouvez y entrer sous le signe triomphal des BRICS.
“38. Nous réitérons l’engagement de promouvoir l’emploi pour le développement durable, y compris pour développer les compétences afin d’assurer une reprise résiliente, des politiques d’emploi et de protection sociale tenant compte de l’égalité des sexes, y compris les droits des travailleurs”. Ainsi, tout est orienté vers la réalisation des projets du “parti unique des mondialistes” pour le développement durable, en incluant la théorie du genre dans cette stratégie. Nous vous rappelons que la théorie du genre remet en cause le fait que les personnes naissent sans identité sexuelle native, masculine ou féminine. Elle prétend que nous naissons neutres, sans appartenance à l’un des deux “genres”. Dans l’acceptation de cette théorie, le genre est une construction sociale, qui est facultative et qui pourrait être sujette à des changements infinis au gré du libre arbitre de chaque individu. Bienvenue donc dans l’univers sataniste du transgendérisme[9] ! Vous avez atteint cette destination par les portes des BRICS.
“39. Nous reconnaissons le besoin urgent de redressement de l’industrie du tourisme et l’importance d’accroître les flux touristiques mutuels, et nous nous emploierons à renforcer davantage l’Alliance des BRICS pour le tourisme vert afin de promouvoir des mesures susceptibles de façonner un secteur du tourisme plus résilient, plus durable et plus inclusif”. Même cette attraction aliénante du monde d’aujourd’hui, le tourisme, est encadrée par la formule procustienne de l'”économie verte”, basée sur le mythe du “réchauffement climatique”, qui prétexte toute la Grande Réinitialisation.
“41. Nous convenons de continuer à approfondir la coopération en matière de concurrence entre les pays des BRICS et de créer un environnement de marché concurrentiel équitable pour la coopération économique et commerciale internationale”. Voici un autre point qui témoigne de la religion du néolibéralisme mondialiste, sans frontières étatiques, sans barrières douanières, qui assure la domination totale et totalitaire des entreprises.
“42. Nous convenons de renforcer le dialogue et la coopération en matière de droits de propriété intellectuelle par le biais du mécanisme de coopération des BRICS en matière de droits de propriété intellectuelle (IPRCM). Alors que nous célébrons une décennie de coopération entre les chefs des offices de propriété intellectuelle, nous nous félicitons de l’alignement de leur plan de travail sur les objectifs de développement durable.” La subordination des pays des BRICS aux règles de la “propriété intellectuelle” les condamne à un sous-développement chronique et à une dépendance totale à l’égard des grands acteurs du capitalisme d’entreprise.
“49. Nous continuons à soutenir les travaux du groupe de travail sur les partenariats public-privé (PPP) et l’infrastructure en ce qui concerne le partage des connaissances, des bonnes pratiques et des enseignements tirés sur le développement et la fourniture efficaces d’infrastructures dans l’intérêt de tous les pays membres…” Les partenariats public-privé représentent une forme d’asservissement des États par les entreprises.
“Partenariat pour le développement durable
52. Nous réaffirmons l’appel à la mise en œuvre de l’Agenda 2030 pour le développement durable dans ses trois dimensions : économique, sociale et environnementale, de manière équilibrée et intégrée en mobilisant les moyens nécessaires à la mise en œuvre de l’Agenda 2030”. Une fois de plus, les États des BRICS comme coquilles vides de l’empire mondial extraterritorial au service des mondialistes.
“53. Nous reconnaissons l’importance de mettre en œuvre les ODD de manière intégrée et holistique, entre autres par l’éradication de la pauvreté ainsi que la lutte contre le changement climatique tout en promouvant l’utilisation durable des terres et la gestion de l’eau, la conservation de la diversité biologique et l’utilisation durable de ses éléments et de la biodiversité, ainsi que le partage juste et équitable des avantages découlant de l’utilisation des ressources génétiques, y compris par un accès approprié aux ressources génétiques…” Comme nous le savons, SDG signifie Sustainable Development Goals, au nombre de 17, qui sont une sorte de “commandements divins” de l’anti-religion mondialiste-satanique, assumés avec une obéissance totale par les marionnettes des pays BRICS.
“56. Nous soulignons à nouveau l’importance de la mise en œuvre de la Convention-cadre des Nations unies sur les changements climatiques (CCNUCC) et de son accord de Paris, ainsi que du principe des responsabilités communes mais différenciées et des capacités respectives (CBDR-RC), en améliorant le transfert de technologies climatiques à faible coût, le renforcement des capacités ainsi que la mobilisation de nouvelles ressources financières additionnelles abordables, adéquates et fournies en temps voulu pour des projets durables sur le plan environnemental. Nous convenons qu’il est nécessaire de défendre, de promouvoir et de renforcer la réponse multilatérale au changement climatique et de travailler ensemble pour que la 28e conférence des parties à la convention-cadre des Nations unies sur les changements climatiques (CCNUCC COP28) soit couronnée de succès”. Le mythe du changement climatique est pleinement assumé par les serviteurs mondialistes au sein des BRICS. La même histoire du changement climatique est exposée de manière très détaillée dans les articles 57, 58, 59, 60, 61, 62, 63. Il ne fait aucun doute qu’ils font partie du jeu mondialiste. Et nous sommes les victimes de leur conspiration ouverte.
“64. Nous nous engageons à intensifier nos efforts pour améliorer notre capacité collective de prévention, de préparation et d’intervention en cas de pandémie à l’échelle mondiale, et à renforcer notre aptitude à lutter collectivement contre de telles pandémies à l’avenir. À cet égard, nous estimons qu’il est important de continuer à soutenir le Centre virtuel de recherche et de développement de vaccins des BRICS. Nous attendons avec impatience la réunion de haut niveau sur la prévention, la préparation et la réponse aux pandémies qui se tiendra le 20 septembre 2023 à l’Assemblée générale des Nations unies et nous appelons à un résultat qui mobilisera la volonté politique et un leadership continu sur cette question.” Au cours des trois dernières années, nous avons acquis la conviction que le sinistre canular du Covid-19 est promu par des mesures tyranniques dans tous les pays du BRICS. Ils continuent de participer au dépeuplement, à la modification génétique et à la traque totale de tous les humains. Nihil novi, il suffit d’ouvrir les yeux sur les réalités environnantes et de renoncer aux illusions et à l’auto-illusion. Dans l’article 65, on retrouve la même adoration de la religion du vaccinisme. Malgré toutes les preuves scientifiques frappantes de la nocivité mortelle des faux vaccins, la mesure de terrorisme d’État est imposée abusivement par les pays BRICS. La stratégie d’asservissement de l’humanité sous des prétextes médicaux, et en suivant les prescriptions de l’OMS, est également jouée par ces pays “rebelles”.
“78. Nous reconnaissons le rôle essentiel des femmes dans le développement économique et saluons l’Alliance des femmes d’affaires des BRICS. Nous reconnaissons que l’entreprenariat inclusif et l’accès au financement pour les femmes faciliteraient leur participation aux entreprises, à l’innovation et à l’économie numérique. Nous saluons les initiatives qui amélioreront la productivité agricole et l’accès à la terre, à la technologie et aux marchés pour les agricultrices”. Une fois de plus, l’héritage du clan Rockefeller qui a inventé et imposé l’idéologie du féminisme représente la valeur centrale de l’alliance des BRICS, géants démographiques et territoriaux, mais nains géopolitiques.
Je vous invite à lire l’intégralité de l’article de Rosca, qui tire un certain nombre de conclusions stimulantes sur ce que ce document nous dit de l’ordre mondial multipolaire.
Plus d’informations ultérieurement.
Photo d’illustration : Photo credit: Sergei Bobylev, TASS
1er septembre 2023
Titre de l’article original en anglais : Sustainable development: It’s what BRICS craves !
Traduction : Lelibrepenseur.org avec DeepL Translator