Alors que l’on nous a présenté l’Italie comme un des très mauvais élèves au niveau de la mortalité Covid-19, il s’avère finalement que sur les 130 468 décès enregistrés par les statistiques gouvernementales au moment de la réalisation de ce rapport (5 oct. 2021), seulement 3 783 seraient dus au virus lui-même. Les comorbidités étaient nombreuses et sérieuses : 65,8% d’hypertension artérielle, 23,5% de démence sénile, 29,3% de diabète, 24,8% de fibrillation auriculaire, 17,4 % avaient des poumons malades, 16,3 % avaient eu un cancer au cours des 5 dernières années, 15,7% d’insuffisance cardiaque… Sans oublier bien entendu le point le plus important, c’est-à-dire la moyenne d’âge des décès que nous pouvons retrouver sur le site officiel de l’ISS (Institut supérieur de santé italien) sur les 130 468 victimes : 80 ans ! Sachant que l’espérance de vie en Italie est de 82 ans.
Selon ce même rapport officiel : « Au 5 octobre 2021, sur les 130 468 (1,2%) patients positifs pour le SRAS-CoV-2 de moins de 50 ans, 1 601 sont décédés. En particulier, 399 d’entre eux avaient moins de 40 ans. » ! Moins de 400 décès en dessous de 40 ans et pourtant le pays a été bloqué et la population de 60 millions d’habitants terrorisée depuis 20 mois ! Rappelons également qu’il a été interdit de soigner les malades, ce qui ne pouvait qu’aggraver la mortalité étant donné que l’utilisation d’un simple placebo aurait évité le décès de 30% des victimes.
Concernant l’efficacité de la vaccination en comparant la mortalité des non-vaccinés avec les personnes ayant eu un schéma vaccinal complet, les conclusions du rapport sont spectaculaires, on va vous laisser les lire :
« Les résultats présentés ici indiquent clairement que les personnes décédées après la fin du cycle de vaccination ont un niveau de complexité clinique élevé, significativement plus élevé que les personnes qui n’ont pas pu bénéficier de l’effet du vaccin en raison d’une infection précoce ou parce qu’elles n’avaient même pas cycle de vaccination a commencé. Il est possible d’émettre l’hypothèse que les patients très âgés atteints de nombreuses maladies peuvent avoir une réponse immunitaire réduite et donc être sensibles à l’infection par le SRAS-CoV-2 et à ses complications bien qu’ils aient été vaccinés. Ces personnes très fragiles avec une réponse immunitaire réduite »
Comment se fait-il que personne en France n’ait entendu parler de ce rapport explosif des autorités de santé italiennes ? Comment est-ce possible ? Nous passons assez clairement de la vie réelle à la vie virtuelle et c’est cette dernière qui s’impose à nous aujourd’hui à cause des médias complices de cette propagande folle. In fine, le Covid-19 a eu une mortalité moins importante que la grippe qui tue les plus jeunes. Ce n’est rien d’autre, en réalité, qu’un « effet moisson » connu des épidémiologistes depuis très longtemps et qui a pour résultat de raccourcir de d’espérance de vie les personnes âgées fragiles, ce qu’on ne retrouve pas en Afrique du fait que l’Italie est un pays vieillissant.
À savoir, la mortalité grippale Italie en moyenne de 16000 à 25000 par an après la publication d’une étude dans l’IJID le 8 août 2019:
“À partir de cette étude, cependant, nous avons compris comment au cours des saisons hivernales 2013/14, 2014/15, 2015/16 et 2016/17, 7 027, 20 259, 15 801 et 24 981 décès sont respectivement attribuables à l’épidémie de grippe. On sait donc que plus de 68 000 décès sur la période sous revue sont imputables aux épidémies de grippe . L’excès de décès observé n’est pas tout à fait inattendu, selon les auteurs de l’étude, car en Italie, principalement en raison de l’âge moyen élevé, il existe un grand nombre de sujets fragiles.” Un total de 68.000 morts pour ces 4 saisons hivernales sur un total de 1 457 038 décès toutes causes confondues enregistrés en Italie au cours de la même période d’étude. L’étude nous montre également des taux élevés de mortalité observée chez les enfants de 0 à 4 ans (à l’instar du Danemark), ce qui n’est pas le cas avec le Covid-19.