Voici la démonstration qu’Olivier Véran est un potentiel criminel qui met en danger la santé des citoyens français qui payent très cher en cotisations. Le manque de personnel de soins est criant, entre les salaires misérables et les dizaines de milliers de suspensions à cause de l’obligation vaccinale, plus personne ne veut travailler. Vous constaterez également à quel point les autorités sont stupides car il est complètement inutile de publier des annonces de demandes d’emploi puisqu’il n’y en a pas sur le marché, leur seule planche de salut reste la nouvelle infirmière récemment diplômée si celle-ci souhaite faire vacciner et débuter une carrière d’esclave et de futur burn-outée. Qu’elle sera la prochaine étape, ? Embaucher des délinquants qui doivent réaliser des heures de travaux d’intérêt général – TIG – comme dans les EHPAD ?
180.000 infirmières diplômées, en âge de travailler, n’exercent plus leur métier !
La situation est très grave car n’oubliez pas que le mythomane Olivier Véran a déjà fermé 5700 lits en 2020, du coup il devrait avoir besoin de beaucoup moins de personnel soignant, quelques milliers en moins, ce qui n’est clairement pas le cas. Français vous êtes en danger.
De plus en plus d’infirmières quittent la profession, laissant un grand nombre de postes vacants qui ne trouvent pas preneuses.
Un phénomène qui n’est pas nouveau, mais s’est aggravé avec la crise du Covid, et laisse celles qui restent avec une charge de travail supplémentaire.
Aucun hôpital n’est épargné par le phénomène : 10% des postes d’infirmières sont désormais vacants, et 5700 lits ont dû être fermés en France de ce fait. La vague de démissions s’est accentuée avec le Covid, et le malaise est persistant chez ceux qui restent, dont la charge de travail s’accroît irrémédiablement. Dans des hôpitaux partout dans le pays, des chambres vides, des services à demi-fermés, comme dans celui où travaille Céline Labeyrie, une neurologue rencontrée par l’équipe de TF1 dans l’enquête en tête d’article. Une seule raison : le départ massif d’infirmières, quatorze rien que le mois dernier pour ce seul service de neurologie. « Ce sont des lits qui normalement devraient accueillir des patients avec des maladies neurologiques graves », explique la spécialiste, « qui nécessitent des soins urgents, des AVC, des scléroses en plaque ».À ses côtés Zoé Huguet, une des infirmières du service, qui raconte : « On agit un peu à la chaîne, les soins d’hygiène et de confort sont aussi faits à la chaîne, et ce n’est pas pour ça qu’on a signé, ce n’est pas pour ça qu’on veut être infirmière ». C’est leur métier qu’elles ne reconnaissent plus, ce qui montre une nature nouvelle du phénomène : les infirmières ne font pas que démissionner d’un hôpital, elles quittent l’activité qu’elles avaient choisi. Et personne ne se bouscule pour les remplacer.
Beaucoup de départs, et pas de renforts en vue
Dans le service de pédiatrie d’Évreux, chaque infirmière a désormais en charge un nombre trop grand de jeunes patients. Marion Bardin fait le compte : « Aujourd’hui, j’en ai 1,2,3… neuf, uniquement du côté des petits ! », explique-t-elle. Habituellement, elle peut compter sur des renforts, mais cette fois-ci, ils ne sont pas au rendez-vous : « C’est la première fois que c’est aussi compliqué », témoigne la soignante, « généralement, même pour des contrats seulement pour l’hiver, à chaque fois on reçoit plein de candidatures ». Au planning, on guette la boîte aux lettres tous les jours, qui reste vide. …