À partir du moment où le paradigme biologique actuel ne sera pas totalement oublié, toutes les tentatives futures seront vouées à l’échec, car la base théorique initiale est fausse ! Donc, le résultat ne peut que l’être à son tour. Attention, les effets secondaires restent très lourds et toute atteinte à l’intégrité du corps l’affaiblit, étant contre nature et allant à l’encontre de toute logique médicale : primum non nocere. Il serait préférable et plus intéressant d’approfondir les travaux du Dr R. G. Hamer ainsi que ceux du Dr Alain Scohy par exemple qui reprend ses travaux ainsi que ceux d’A. Béchamp. Nul besoin d’insister sur le prix du traitement qui dépasse l’entendement et est une insulte au peuple qui cotise à la Sécurité sociale pour voir son argent disparaître dans des traitements inutiles, au prix exorbitant.
[citation source= »Sciences et Avenir »]L’immunothérapie gagne encore du terrain, avec de nouvelles études présentées dès les premières minutes de l’ouverture officielle de l’Asco, le 29 mai 2015. Cette fois, son intérêt est pour la première fois démontré face à d’autres organes que la peau, soit pour certaines tumeurs dites solides, localisées au niveau du foie, de la tête et du cou, ou du poumon. Une avancée d’autant plus intéressante qu’il s’agit là de tumeurs difficiles à traiter. Exemple avec le cancer du foie à un stade avancé. Appelé carcinome hépatocellulaire avancé (HCC), ce type de cancer ne dispose en effet que d’un seul traitement agréé par la FDA, le sorafénib (Noxavar, laboratoires Bayer/Amgen). L’étude présentée par le Dr Anthony B. El-Khoueiry (Ucla, Los Angeles, États-Unis) est donc la première à utiliser le nivolumab (Opdivo, laboratoires BMS) dans cette indication. Avec succès puisqu’environ un patient sur cinq (19%) a répondu positivement au traitement. Trois mois supplémentaires de survie Cette même molécule a aussi été testée sur un autre organe, le poumon et dans un groupe important de patients (600) atteints d’un cancer dit « non squameux et non à petites cellules » (NSCLC). Elle a été comparée à une autre chimiothérapie, le docetaxel. Là encore, bonne nouvelle puisque le taux de survie à un an a presque doublé avec le nivolumab par rapport au docétaxel. Ce qui se traduit concrètement pour les malades, par trois mois supplémentaires de survie. Ce travail a également démontré que le traitement était d’autant plus efficace que le niveau d’expression de la tumeur en PDL1, un récepteur porté par les lymphocytes, était élevé. Ce qui constitue un nouveau facteur prédictif de bonne réponse qui aidera sans doute dans le futur les médecins à mieux choisir les patients, pour ne proposer ce traitement qu’à ceux susceptibles d’y répondre. Chez les autres, pour leur éviter des traitements inutiles et donc leur faire gagner du temps, d’autres stratégies, si elles existent, seront alors privilégiées. Face aux résultats préliminaires de cette étude dévoilés il y a peu, le comité des médicaments à usage humain (Committee for Medicinal Products for Human Use, CHMP) de l’Agence Européenne des Médicaments (EMA) avait d’ailleurs rendu un avis positif pour que la molécule obtienne rapidement son homologation dans cette nouvelle indication. Face aux tumeurs de la tête et cou, c’est une autre molécule, le pembrolizumab (Keytruda, laboratoires Merck) qui a été testée. « Avec une efficacité remarquable, a déclaré Tanguy Seiwert, chef du programme associé pour la tête et du cou à l’université de Chicago, soit deux fois supérieure aux combinaisons habituelles ». Chez un patient sur cinq, une diminution de près de 30% de la taille des tumeurs a pu en effet être observée.[/citation]