L’état fantoche français sait très bien où est l’argent qui manque à son budget, comment le récupérer, sauf que le bankster rothschildien Macron préfère taxer plus les retraités et les APL déjà misérables… La France est riche, l’argent est disponible sauf que ce sont les riches qui font les lois depuis plus de 30 ans maintenant, d’autant qu’ils possèdent également les médias et donc peuvent sécréter leur propagande.
Selon un document annexé au projet de loi de finances 2018, le nombre de niches fiscales va passer de 451 à 457.
Selon un document annexé au projet de loi de finances 2018, repéré par le magazine Capital, les niches fiscales vont coûter à l’État près de 100 milliards d’euros (99,8 milliards d’euros précisément), soit une hausse de 7,3 % par rapport au budget précédent.
Le nombre de ces exonérations et crédits d’impôt (à la fois en faveur des entreprises et des particuliers) va parallèlement augmenter, passant de 451 en 2017 à 457 dans le budget 2018.
Parmi les niches créées, figurent par exemple la réduction d’impôt au titre de certains dons et l’exonération partielle des sommes déposées sur un compte d’investissement forestier.
Montée en puissance du CICE
Certaines de ces niches fiscales sont particulièrement coûteuses. C’est le cas du crédit d’impôt compétitivité emploi (CICE) accordé aux entreprises depuis 2013 (21 milliards d’euros en 2018, soit une hausse de 4,5 milliards par rapport à 2017), du crédit d’impôt pour l’emploi d’un salarié à domicile (+1,1 milliard) ouvert depuis cette année aux retraités et du crédit d’impôt recherche (CIR) (+700 millions d’euros).
Au total, les dix premières niches fiscales représentent 50,4 milliards d’euros de recettes en moins (41,3 milliards en 2007).
Pour mémoire, la loi de programmation des finances publiques 2014-2019 prévoyait un plafonnement des niches fiscales, à 81,8 milliards d’euros en 2016 et […]
Les Échos