C’est exactement ce que vivent les écoles musulmanes, depuis des années maintenant, avec le montage de dossiers complètement fictifs et un harcèlement spectaculaire lié à l’arrivée de dizaines de personnes qui terrorisent les élèves. Comme vous pouvez le remarquer ci-dessous, dans cet article, les questions des inspecteurs sont ahurissantes de bêtise. Ils demandent aux enfants, toujours seuls, sans la présence des instituteurs et encore moins des parents, s’ils parlent de sexualité à la maison, s’ils ont Internet à la maison, s’ils ont un Smartphone… Bref, des questions aussi inutiles qu’intrusives qui n’ont pas lieu d’être si ce n’est dans une dictature à la Staline qui veut absolument tout contrôler.
C’est une véritable déclaration de guerre civilisationnelle lancée par le ministère de l’abrutissement national dont la seule priorité est de pervertir la jeunesse en parlant à longueur de journée de sexe et en multipliant le nombre d’heures quotidiennes passées devant les écrans ! Nous sommes gouvernés par des dangereux pervers et il faut que cela cesse immédiatement. Il faut absolument appeler à une union des Français – quelles que soient leurs religions ou leurs croyances – afin de mettre fin à cette tyrannie et à cette folie.
Il faut également multiplier les plaintes au pénal contre cette ingérence insupportable et inacceptable. Le ministère de l’Éducation nationale n’a pas à s’immiscer dans l’éducation parentale. Sa seule mission est d’instruire des élèves, leur apprendre à lire et à écrire ainsi qu’à compter. La propagande LGBT n’a strictement rien à faire à l’école d’autant qu’il existe des dizaines de priorités vitales qui sont négligées, voire abandonnées totalement. Il suffit de rappeler les nombreux drames de suicides à cause du harcèlement scolaire, avec une réaction quasi inexistante du ministère, pour démontrer à quel point cette institution est vérolée.
Alors que le ministre de l’Éducation a été mis en cause dans l’affaire Lindsay par les parents de la défunte adolescente de 13 ans, qui accusent aussi l’établissement et l’académie de Lille de non-assistance à personne en danger, on apprend que ces dernières semaines, des inspections massives, façon « commando », ont été diligentées… dans des écoles catholiques hors contrat.
Dans un communiqué commun publié le 3 juin dernier, la Fondation pour l’école et la Fédération des parents d’élèves des écoles indépendantes (FPEEI) font état de « pratiques scandaleuses » : des arrivées surprises « par des portes dérobées », des « inspecteurs en surnombre : 10 pour une école de 90 élèves, par exemple », des « fouilles de cartables » et de casiers – d’élèves comme de professeurs – ainsi que des questions intrusives dépassant largement le périmètre scolaire : « Avez-vous des problèmes familiaux ? », « Parlez-vous de sexualité à la maison ? », « En parlez-vous beaucoup ? », « Supportez-vous l’uniforme ? », « Cela ne vous dérange-t-il pas de ne jamais changer d’aspect ? », « Avez-vous accès à Internet à la maison ? », « En avez-vous assez d’être cloîtrés toute la journée sans votre téléphone ? »… des interrogations qui ne manquent pas de sel, quand on sait que le ministre de l’Éducation, dans le drame du harcèlement de Lindsay, charge aujourd’hui les réseaux sociaux…
Le professeur d’un collège de l’ouest parisien, interrogé par BV, évoque une rafale de questions vétilleuses « dont les inspecteurs n’écoutent pas la réponse ». Marie des Neiges Guillotel, de la FPEEI, témoigne auprès de BV du « mécontentement de nombreux parents dont les enfants ont été interrogés par des inspecteurs sans leur accord, sans qu’un adulte puisse assister à l’entretien, et sur des sujets relevant en grande partie de la sphère familiale ». Michel Valadier, président de la Fondation pour l’école, dénonce quant à lui des « méthodes de voyou ». Pas plus que les directeurs d’établissement, il ne remet en cause, bien sûr, le bien-fondé des inspections. Déroulées dans un climat serein, ces inspections se sont souvent révélées, par le passé, constructives et positives, tient-il à préciser. Mais là, c’est d’autre chose qu’il s’agit. Il souligne les intimidations dont ont fait l’objet les directeurs d’école pour que les élèves, quoique mineurs, puissent être interrogés seuls, sans présence d’un tiers ni autorisation des parents. À l’institut d’Argentré, dans l’Orne, la directrice Sylvie Biget explique avoir été menacée de voir fermer son école si elle n’obtempérait pas. Cette directrice est d’autant plus surprise que, par le passé, elle a connu des inspections tout à fait professionnelles et neutres. La remarque candide, à l’issue, d’une fillette en classe de 5e l’a spécialement touchée : « Ils voulaient que l’on dise que l’on était malheureux dans l’école, mais on leur a dit que ce n’était pas vrai ! »
Faut-il y voir un effet « loi séparatisme » – mais sont-ce ces écoles catholiques qui fournissent les bataillons d’islamistes ? – ou une conséquence de l’arrivée de Pap Ndiaye à l’Éducation nationale ? Cette multiplication des inspections et leur modus operandi laissant songeur.
Bien sûr, l’actuel ministre de l’Éducation n’est pas responsable à lui tout seul de l’effondrement général de l’école en France, celui-ci s’inscrit dans le temps long. Près d’un demi-siècle d’idéologie pédagogiste a conduit à des dégringolades en cascade, façon effet domino : un décrochage de niveau, d’autorité, enfin de sécurité, illustré aujourd’hui non seulement par un nom de professeur (Samuel Paty) mais aussi par des prénoms d’élèves – Lindsay, Maelys, Thibault, Lucas, Ambre, Chanel, Marion, Juliette… : ceux des enfants harcelés, tabassés, persécutés, désespérés qui, pour certains, iront jusqu’à se donner la mort.
Mais le ministre est responsable, a minima, de l’ordre de ses priorités. Les inspecteurs n’ayant pas le don d’ubiquité, pourquoi, alors que tant de signalements de parents restent apparemment sans effet dans l’enseignement public, user les ressources de contrôle académique vers ces écoles indépendantes n’ayant commis d’autre crime que s’efforcer de proposer une école sereine où règnent la discipline et le calme afin de dispenser ces enseignements fondamentaux que l’on se lamente de voir disparaître partout ailleurs… Ces écoles qui coûtent, en sus, infiniment moins cher que les autres au contribuable ?
Pap Ndiaye, Minister of National Education and Youth Council of Ministers at Elysée Palace, Paris, France – 22 Feb 2023 ©Alfonso Jimenez/Shutterstock (13778448j)
7 juin 2023