Les « scientifiques » britanniques ont fait disparaître les géants par un tour de passe-passe ingénieux, d’une simplicité assez grossière, en affirmant que les os de grande taille trouvés lors de fouilles appartenaient à des dinosaures. Bien sûr, on n’a jamais retrouvé l’intégralité d’un squelette de dinosaure, et cela, je l’affirme et le prédis, n’arrivera jamais. Cependant, à partir de quelques os récupérés ici et là, les scientifiques établissent le squelette complet d’un dinosaure. Il est inconcevable pour nos contemporains d’imaginer qu’il ait pu exister sur Terre des humains mesurant 4, 5 ou 6 mètres et plus. En revanche, croire en l’existence de lézards de plusieurs dizaines de tonnes mesurant 10 mètres ne pose aucun problème. Pourquoi le premier est-il refusé quand le second est accepté ? C’est parce que les géants sont mentionnés dans les écrits religieux, ce qui n’est pas le cas des dinosaures.
L’étrangeté dans la découverte des dinosaures, c’est qu’avant même de les avoir découverts, nous avions émis l’hypothèse de leur existence et, quelques années plus tard, nous les avons effectivement découverts. Le hasard d’Iblis fait bien les choses.
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