Il a fallu attendre plus de 2 mois et avoir dépassé les 720 cas pour que les autorités sanitaires commencent à parler de la réalité de la diffusion de la variole du singe en France qui est quasiment une maladie sexuellement transmissible spécifique au milieu gay. Selon le dernier rapport de Santé publique France du 7 juillet dernier, sur 721 cas, il n’y a que 2 enfants et 4 femmes, ce qui fait moins d’1 % du total des cas, à savoir 99,2 % des cas concernent des hommes, ce qui est une anomalie statistique. On imagine que c’est une décision qui a pour objet de ne pas stigmatiser la communauté homosexuelle, alors qu’en réalité elle ne fait que la mettre en danger en laissant diffuser une maladie comme l’a relevé le site vih.org. C’est une décision totalement irresponsable du point de vue de la santé publique. Ce choix de politique sanitaire est d’autant plus critiquable que la contamination pourra toucher le reste de la population et créer du coup un ressentiment envers la communauté homosexuelle !
Heureusement que cette maladie n’est pas extrêmement dangereuse, se caractérisant par un taux de mortalité de 10 ou de 20 %, autrement les autorités publiques auraient déjà du sang sur les mains !