On voit clairement maintenant que l’état est géré par des traîtres, des voyous, des complices de l’ultra libéralisme apatride et criminel. Ils font semblant d’être choqués par les paradis fiscaux mais laissent un P. Drahi étendre son empire médiatique de défiscalisation. Ainsi il pourra même faire sortir une bonne partie des centaines de millions d’euros reçus des subventions d’état vers Guernesey, Panama… Maintenant que les médias officiels sont touchés par ces pratiques, comment voulez-vous qu’ils les critiquent (penser que le très gauchiste Libé est à Panama…) ? Ce n’est même plus de l’hypocrisie, c’est une prise de pouvoir assumée de voyous internationaux sans foi ni loi, ni patrie ni morale…
Le Canard Enchaîné publie cette semaine une longue enquête sur l’empire de Patrick Drahi. Il revient sur les limites du système mis en place par l’homme d’affaires et pour lequel les investisseurs commencent à émettre des doutes.Le Canard publie également l’organigramme de l’empire Drahi, qu’a réussi à établir l’économiste Benoît Boussemart, et qui avait été publié initialement dans le magazine Capital.Tout en haut de cet organigramme, on retrouve l’holding personnel de Patrick Drahi, Next LP. Et le Canard Enchaîne d’expliquer que ce dernier est « planqué dans le paradis fiscal de Guernesey. Lequel contrôle un grand machin confortablement installé dans le paradis administratif des Pays-Bas , Altice NV (A et B) … Lequel contrôle un autre gros bidule lové au Luxembourg, Altice Luxembourg SA… Lequel étend sa toile et empile les sociétés comme des poupées russes aux quatre coins du continent européen, avec une nette préférence pour les contrées à forte optimisation fiscale ».Une des choses les étonnantes relevée par Le Canard Enchaîné, est la localisation de la société mère d’Altice Media Group, qui regroupe les activités media de Patrick Drahi (L’Express, Libération, BFM TV, etc.), qui est installée dans le Word Trade Center de Panama City. La maison mère de ces médias français est donc logée dans un des plus importants paradis fiscaux et judiciaires.