C’est ainsi que sont gérées les affaires sanitaires dans une Allemagne totalement corrompue. Quand un responsable met le doigt sur un grave problème, il est licencié comme s’il avait commis une faute grave. Pendant ce temps les injectés continuent de tomber comme des mouches…
S
elon ses propres informations, le conseil d’administration de la BKK ProVita a licencié Andreas Schöfbeck sans préavis.
La rumeur selon laquelle Schöfbeck devait être licencié était déjà persistante depuis la semaine dernière. Le conseil d’administration de la BKK avait suscité des discussions et des critiques sévères en déclarant que l’Allemagne était confrontée à une importante “sous-déclaration des effets secondaires”. Schöfbeck avait commandé une analyse de millions d’assurés de la BKK. D’après ces données, il a déclaré que le nombre d’effets secondaires des vaccins Corona était nettement plus élevé que les analyses de l’Institut Paul Ehrlich. Le WELT a été le premier à en parler.
Dans une lettre adressée au président du PEI, Paul Cichutek, Schöfbeck a qualifié cette évaluation de “signal d’alarme considérable qui doit absolument être pris en compte lors de l’utilisation ultérieure des vaccins“.
Cette évaluation devait avoir lieu ce mardi à partir de 16 heures lors d’une réunion en ligne avec Schöfbeck ainsi que des représentants du PEI et le président de l’institut Cichutek. C’est apparemment son adjoint Walter Redl qui devrait remplacer Schöfbeck à ce rendez-vous.
Photo d’illustration : Quelle : Getty Images
WELT
1er mars 2022
Titre de l’article original en allemand : Vorstand der BKK-ProVita ist fristlos gekündigt
Traduction : Lelibrepenseur.org avec DeepL Translator