L
es études françaises publiées dans le JAMA et réalisées sur une cohorte importante de l’ordre de 30 000 patients, vont humilier et bousculer les certitudes de beaucoup d’entre les morticoles cathodiques du type Gilbert Deray qui font la promotion médiatique du Covid long. Selon ce rigolo, il en existerait : “15 millions aux États-Unis, 4 à 5 millions en Grande-Bretagne” ! Pour lui “le Covid long est une épidémie” ! Il ira encore plus loin en terrorisant les parents : “En Grande-Bretagne, on a construit des cliniques Covid long, dont certaines réservées aux enfants. C’est vous dire l’ampleur du problème”. Il n’est pas le seul à participer à cette propagande, Karine Lacombe en a également fait des tonnes sur les médias.
Après avoir répondu à un questionnaire, un grand nombre de personnes se plaignant de Covid long n’ont en réalité jamais été atteintes par la maladie, au vu de leur sérologie négative. D’autant que la symptomatologie dont les malades se plaignent est extrêmement vague (18 au total), elle ne veut pas dire grand-chose. Par contre, lorsque la sérologie est positive et que la maladie est confirmée cliniquement, le seul et unique symptôme persistant est l’anosmie.
Nous l’affirmons depuis le début de cette crise, le Covid long est une invention de l’industrie qui a l’habitude depuis des décennies de créer de nouvelles maladies – lire Les inventeurs de maladies de Jörg Blech – afin de vendre de nouveaux remèdes innovants et brevetables qui vont leur rapporter des fortunes. Cette étude a confirmé l’aspect psychosocial de ce Covid long, il a été en réalité créé par l’hyper médiatisation et la mise en place de ce terrorisme sanitaire qui a suscité une panique inégalée dans l’histoire humaine.
Il n’est pas question, selon les chercheurs, de nier la symptomatologie dont se plaignent certains malades. Ce serait plutôt des maladies qui étaient en sommeil ou qui se sont déclarées au cours des 20 derniers mois mais qui n’ont rien à voir avec le Covid-19 comme les maladies neuromusculaires type fibromyalgie, des maladies psychiatriques… En réalité, selon les auteurs de l’étude, il serait plus question d’un phénomène psychosocial causé par une gestion catastrophique de cette crise sanitaire avec son hyper médiatisation et l’omniprésence de morticoles dangereux. On ne peut pas publier en une du JDD un chiffre effrayant de 500 000 morts sans conséquences psychologiques lourdes sur les populations les plus fragiles. Ce n’est rien d’autre que l’effet nocebo, l’inverse de l’effet placebo, qui peut avoir des effets désastreux sur la santé des gens, notamment les hypocondriaques. Non seulement le corps médical et les autorités de santé n’ont pas utilisé l’effet placebo en autorisant les médecins de ville à soigner leurs malades et leur proposer des traitements quels qu’ils soient – Hydroxychloroquine ou Ivermectine ou autres… – bien au contraire, ils ont été abandonnés à eux-mêmes et terrorisés par une propagande historique et des chiffres effrayants de mortalité, des modélisations mathématiques folles, alors que nous savons aujourd’hui que tout était fallacieux et qu’à peine 2.2 % des lits des hôpitaux étaient occupés par des covidés, selon le dernier rapport de l’ATIH.
Voici la preuve scientifique que le #CovidLong est une création des médias et des ordures morticoles. C'est une maladie psychiatrique, une hypochondrie nourrie par la propagande et le terrorisme sanitaire covidiste. #COVID19 pic.twitter.com/FzwHEBbJtT
— Salim Laïbi – LLP (@LLP_Le_Vrai) December 7, 2021
Une étude menée sur la plus grande cohorte épidémiologique française suggère que d’un point de vue statistique, le fait d’être convaincu d’avoir eu le Covid-19 est davantage associé à des symptômes de type « Covid long » que d’avoir effectivement contracté la maladie.
Fatigue chronique, essoufflement, douleurs thoraciques, musculaires ou articulaires, troubles de la mémoire immédiate ou de la concentration, céphalées, anxiété… Plus d’un mois après avoir contracté le Covid-19, certaines personnes continuent d’éprouver une variété de symptômes persistants, parfois très invalidants. Une nouvelle terminologie, dite « Covid long », forgée par les patients, s’est peu à peu imposée pour décrire cette nouvelle entité pathologique. Mais celle-ci est-elle réellement due à l’infection par le nouveau coronavirus ?
Une explosive et méticuleuse étude épidémiologique, publiée lundi 8 novembre par la revue JAMA Internal Medicine, remet en cause l’éventualité d’un tel lien de causalité. Elle n’invalide pas le fait que certaines personnes puissent souffrir d’un syndrome post-infectieux mais suggère que, d’un point de vue statistique, c’est la conviction d’avoir été infecté par le SARS-CoV-2 qui est liée aux symptômes du « Covid long », plus que le fait d’avoir été bel et bien infecté…