L’humanité est un désert assoiffé de justice et de vérité. Un désert que j’ai traversé toute ma vie durant. M’égarant, me fourvoyant, me gaufrant dans les mirages. Observant ceux qui s’y agrippent jusqu’à leur mort, à ces mirages chatoyants. Méditant la folie insondable des hommes jusqu’à leur effondrement. Mais rien ne guérit cette folie, pas même l’effondrement. Je les ai longuement observé souiller les sources de sagesse, les quelques rares sources dans ce désert. Mais l’incurable folie périra et la sagesse rejaillira. Enivrés devant la danse du Serpent qu’ils reconduisent de tous leurs suffrages, ils jouissent de leur égarement, de leur chute, en tripotant leur chapelet de privilèges… « L’ordure c’est quand même mieux que l’ordre dur », s’esclaffent-ils à la sortie des bureaux de vote. Ces rats ont une philosophie bien à eux : la vérité n’est qu’un mensonge qui fonctionne un temps, même court ; une vérité chassant l’autre comme on tire une chasse d’eau. Sauf que les rats ne tirent jamais la chasse tant ils se complaisent dans le marécage de corruption qu’ils ont institutionnalisé. Et dès lors que leur marécage est menacé, ils menacent de tout brûler, de tout détruire. Leur religion, leur vie intérieure se limite à ce qui se passe dans leur estomac. De leur point de vue, il n’y a de liberté que dans le chaos et de plaisir que dans les marécages de la corruption. Les rats ne sont heureux que dans les égouts ; si vous leur parlez de pureté ils crèvent sur le coup comme foudroyés. Les rats aiment bien écrire leur morale pendant qu’ils chient. Et ils s’étonnent qu’on ne veuille pas mettre le pied dans les sables mouvants de leur immondices moraux et qu’on ne boive pas avec eux les croupissures méphitiques de leur lâcheté avec délectation. Ces nuisibles ont un flair infaillible pour dégoter la pourriture, et une fois qu’ils l’ont trouvée ils s’y installent et la font prospérer, c’est leur raison de vivre, leur cause, leur combat. La pourriture les rassure. La décomposition les fascine comme une invitation à la vie. Mais les plus abjects sont ces porcs de la mosquée de Paris, qui rompent le jeûne à la gloire du cocaïnomane tortionnaire d’enfants qu’ils appellent à reconduire à la présidence. Il faut les voir ripailler avec la postérité du Serpent à s’en faire éclater la panse, ces débauchés engraissés à la laïcité, se parant de toutes les vertus et grouillant autour du Veau d’or étalé sur leurs tapis de prière et répandant ses miasmes où se vautrent avec délices ces imams des sables mouvants empoisonnés. Que la menace fasciste imaginaire leur retombe sur la gueule de manière très réelle. Qu’ils se noient dans la gangrène de leurs vices. Avec leurs doigts dégueulasses, ils ont fait de l’islam un pourceau aux discours ripoublicains enflammés aux pétrodollars. Seul Dieu sait ce que les marchands du Temple leur ont promis à ces enfants des Ténèbres. Je ne leur souhaite que du mal. Que Dieu ne leur pardonne pas. Ils sont de toutes façons impardonnables. Je ne serais soulagé que lorsque j’apprendrais qu’ils sont morts dans les plus atroces souffrances. Que leur cadavre pourrisse sous le soleil de Satan. Je ne sais même plus si la vérité veut encore triompher dans ce marécage infernal. Ces pourceaux ivres de l’islam aux œufs d’or ne méritent pas la lumière, ils n’en sont pas dignes. Que leur âme damnée erre dans les égouts de l’Enfer et n’en sorte jamais. Les Français ne sont pas coupables de ne pas supporter ces hypocrites corrompus qui appellent à reconduire au Pouvoir le destructeur définitif de la France en particulier et de l’humanité en général. Les Français ne seront jamais coupables de ne pas supporter l’insupportable.
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