Cher Maître Di Vizio,
Votre combat par l’arme du droit contre la tyrannie instaurée hier en France avec tout l’appareil d’État et tout l’appareil médiatique suscite toute mon estime et tout mon soutien. J’ai été comme vous abasourdi par cette déclaration funèbre hier qui proclame très officiellement la plus cruelle tyrannie au nom de la liberté, la ségrégation radicale au nom de l’égalité et l’apartheid le plus brutal au nom de la fraternité ! Je suis abasourdi par la puissance de cette magie noire qui arrive à faire passer la plus extrême violence pour de la douce bienveillance, pour de la bienveillante démocratie et qui définit sournoisement le cadre du combat auquel nous avons la faiblesse de croire : le cadre démocratique non-violent. Si cette tyrannie ne se déclarait pas au nom de la liberté, nous la combattrions avec toute la violence qui s’impose, et qui s’impose nécessairement lorsqu’on veut faire tomber une tyrannie. Est-il besoin de rappeler que c’est par une violence inouïe, épouvantable, abominable, que les révolutionnaires républicains ont fait tomber la monarchie française, tyrannique à leurs yeux. La république française a gravé dans le marbre national la légitimité de la violence pour renverser la tyrannie. Si cette tyrannie actuelle n’avançait pas avec le masque de la démocratie, nous la combattrions spontanément avec toute la violence nécessaire. Pour parvenir à ses fins, cette tyrannie a besoin de ce masque démocratique pour dissuader notre recours légitime à la violence contre cette tyrannie pourtant évidente, et nous limiter ainsi à un combat démocratique non-violent, par l’arme juridique ou l’arme du boycott, ou encore « l’arme » de la manifestation pacifique qui, j’espère, aboutiront bien entendu. Mais la vérité est que, sous la tyrannie, la légitime violence est une légitime défense. Ou alors, il n’y a plus de légitime défense. Ne devrions-nous donc pas recourir à toute la violence légitime nécessaire pour déchirer ce masque démocratique et renverser cette tyrannie. Car on ne peut pas renverser celle-ci sans déchirer celui-là. Le problème est que ce masque est indéchirable. Et même les arguments les plus rationnels du monde sont impuissants à déchirer ce masque magique. Vous en avez fait l’amère expérience hier soir sur une chaîne de télévision israélienne, vous avez même découvert en coulisse l’incommensurable mépris qui se cachait derrière ce masque démocratique fraternel ; « vous n’êtes rien ! », vous a-t-on lancé. Et ce mépris vertigineux, le téléspectateur moyen n’en a rien su, au contraire cette émission fut à ses yeux un fort débat démocratique, le confortant même dans sa conviction que nous sommes en démocratie, et pas en tyrannie ! Ce n’est pas une histoire de fou, c’est une histoire de magie. Nous ne sommes plus dans le rationnel, nous sommes dans le magique. Pour combattre cette magie noire, on serait tenté de lui opposer la magie blanche. Pour combattre ces maîtres de la magie noire, dans le secret des loges et des cercles, nous serions tentés de solliciter les maîtres de la magie blanche… ou le Maître de la magie blanche… le Maître en vertu… le Maître divin… Le Christ fut de ces rares maîtres en vertu, qui au prix de sa vie réussit à faire tomber le Sanhédrin, le grand temple des trafics infernaux, le temple du grand mépris, de l’abyssal mépris envers la vie, l’humanité, l’amour, la vérité, ce vertigineux mépris qui n’est finalement pas mort au cours des siècles, et qui constitue même ce Pouvoir que vous combattez aujourd’hui. Vous avez absolument raison de dire que c’est par la lumière de la vérité que nous vaincrons ces tyranniques ténèbres, où grouillent horriblement d’infâmes journalistes, politiques, médecins, professeurs, artistes, humanistes, philanthropes… Mais c’est par la vertu que la lumière de vérité illumine les ténèbres. Je n’arrive pas à admettre que cette phénoménale bulle de mensonges vénéneuse n’ait pas encore éclaté sous une petite pique de vérité. Ne serions donc nous pas assez vertueux… Ce château de cartes diabolique ne s’effondra que sous l’assaut de nos vertus. Face à cette religion du Covid, qui n’est rien d’autre que la religion du vide, du gouffre, du simulacre, nous devons opposer notre religion. Nous devons partir en croisade, la croisade la plus violente de vérité. Pour cette croisade, nous n’avons ni pape, ni clergé, ni temple. Mais nous avons beaucoup de traîtres. La vérité ou la mort, tel est notre seul credo, notre seule liturgie, notre seul sacrement, notre seule eucharistie, notre seule vertu. Leur phénoménale puissance n’a été bâtie que sur le simulacre. L’Apocalypse – c’est-à-dire littéralement le découvrement de la vérité – est notre seul programme, notre seul objectif. L’Apocalypse brisera toutes les lois pour accomplir le seul droit, le souverain droit et devoir d’être Homme. Notre adversaire poursuit une contre-croisade depuis des millénaires pour en finir avec ce qui fait notre humanité. Et depuis hier, nous avons compris que cette Bête de simulacres est près, tout près de réussir.
Révolutionnairement vôtre
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