N’importe quel autre traitement aurait été arrêté immédiatement après autant de décès et pourtant les autorités continuent de vacciner. N’importe quel autre traitement aurait été immédiatement retiré de la circulation après une mort in utero et une malformation congénitale ayant conduit à l’interruption de grossesse ! Immédiatement, la vaccination des femmes enceintes aurait été suspendue, sauf que les règles de la médecine ont changé depuis le Covid-19 ! Le Luxembourg en est à 430 cas graves et ça ne dérange personne ! 115 hospitalisations et 18 mises en cause du pronostic vital et ils continuent de vacciner ! Nous pouvons également remarquer que la grande majorité des cas graves touche une tranche d’âge jeune qui n’est pas la cible du Covid-19 ! En d’autres termes, le vaccin tue et rend gravement malade des gens qui n’auraient pas fait de complications majeures avec le Covid-19.
A peine 0,23% des vaccinations anti-covid ont fait jusqu’à présent l’objet d’un signalement d’effet indésirable. Mais le dernier rapport de pharmacovigilance ne cache rien sur les 430 situations “graves” relevées.
Onze mois que la campagne vaccinale anti-covid a débuté. Et depuis, scrupuleusement, la division de la pharmacie et des médicaments enregistre chaque effet secondaire signalé. C’est ainsi que le septième rapport de pharmacovigilance vient de rappeler que pour 99,77% des injections, nulle douleur au bras, pas de poussée de fièvre, aucun mal de tête, tournis ou troubles plus sérieux n’ont été rapportés.
De fait, 841.809 piqûres après la première dose administrée en décembre dernier, seules 1.940 déclarations de ”problèmes de santé” liés à la vaccination sont remontées aux oreilles des autorités. Donc… 0,23% d’effets indésirables.
Aussi petit soit le nombre de cas répertoriés, chacun d’eux fait l’objet d’un suivi particulier. Ne serait-ce que pour savoir s’il s’agit d’une perturbation bénigne (et relevant des contrecoups connus) ou de formes plus préoccupantes. En presque un an, 430 cas graves ont ainsi été repérés. Chiffre qui inclut, pour ce bulletin tenu entre le 4 octobre et le 1er novembre dernier, un décès supplémentaire (11 au total, sur les 864 victimes recensées à ce jour) et onze nouvelles hospitalisations (115).
Mais à lire les 17 pages du rapport, un fait inédit est signalé : le cas de deux femmes enceintes et ayant fait l’objet d’une prise en charge à l’hôpital à la suite d’une piqûre anti-covid. Dans un cas, la mort in utero d’un fœtus a été déplorée, dans l’autre des malformations ont conduit à une interruption de grossesse. Toutefois, insistent les autorités, « les données actuelles ne permettent pas de conclure que ces événements sont liés aux vaccins, s’agissant de faits qui peuvent arriver dans la population générale ».
Aucune alarme particulière n’a donc été remontée auprès des professionnels de la maternité. Sachant qu’au Grand-Duché, déjà 2.041 femmes enceintes ont reçu au moins une dose de vaccin anti-covid durant leur grossesse…