Bon ben, pas besoin de chercher le vainqueur 2015, ce sera à coup sûr ce film de dégénérés puisqu’il est question du festival maçonnique de Cannes dont la palme représente de façon très symbolique la branche d’acacia ! Ils vont faire passer ces détraqués mentaux pour des amoureux fous fusionnels qui ont tous les droits, car c’est de l’Art… blabla. Bref, le festival maçonnique de Cannes est là pour influencer les personnes et forger l’opinion publique en la poussant vers plus de saleté et de dépravation, sous couvert de beaux sentiments et d’Art. Si le GODF est derrière, il faut s’attendre au pire et il est vrai que Cannes a toujours été à l’avant-poste de la décadence mondiale : drogue, sexe, gender, pédocriminalité (Polanski), prostitution,… Bref, tout ce qui est « bon » et « élève » l’Humanité.
Avec Marguerite et Julien, retenu dans la sélection officielle de Cannes 2015, la réalisatrice et actrice Valérie Donzelli fait ses premiers pas en compétition. Son film historique relate la passion d’un frère et d’une sœur, inspirée de faits réels.
En 2011, quand La guerre est déclarée était présenté en ouverture de La semaine de la critique, les spectateurs sortaient les larmes aux yeux, déçus de l’absence du film au palmarès des primés. Quatre ans après, Valérie Donzelli fait son entrée dans la sélection officielle de la 68e édition du Festival de Cannes avec Marguerite et Julien. La réalisatrice de 42 ans a adapté un scénario que Jean Gruault (Jules et Jim, L’enfant sauvage) avait écrit dans les années 1970 pour François Truffaut et que Capricci a publié en 2011. Marguerite et Julien est une histoire romanesque située dans la France d’Henri IV sur la relation fusionnelle entre un frère et une sœur qui ont réellement existé. Séparés par leurs parents à l’aube de l’adolescence, le frère et la sœur se retrouvent alors que Marguerite a été mariée de force à un homme de 32 ans son aîné. La jeune femme s’enfuit mais son mari ordonne de la faire arrêter pour inceste et adultère.
Un héritage lourd à assumer
On avait déjà beaucoup comparé le cinéma de Valérie Donzelli à celui de François Truffaut. En adaptant un scénario qui lui était destiné, la réalisatrice enfonce le clou et doit s’attendre à la comparaison. Elle a néanmoins pour elle l’originalité de l’histoire même s’il traite d’un thème qu’elle adore : la fusion.
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