Il faut vraiment avoir des crottes plein les yeux pour ne pas voir sur le visage de ce pitre de Ménard la manipulation grossière d’un agent de l’étranger pyromane (relisez Maxime Vivas) qui veut déstabiliser la paix civile. Lui aussi, à l’instar de la Morano ou du criminel de guerre B. Netanyahu, il nous rappelle que l’on est « dans un pays de tradition judéo-chrétienne » pour bien marquer la séparation entre les Juifs-Chrétiens des Musulmans ! Les citoyens apprécieront l’urgence d’une telle décision politique, quand on connaît la situation économique catastrophique dans laquelle on baigne.
Robert Ménard ne veut pas que Béziers devienne la « capitale des kebabs »
Le maire (RBM) entend limiter le nombre de kebabs du centre-ville, mais il n’est pour l’instant pas passé à l’action.
Même à la sauce blanche, les kebabs ne sont pas du goût de Robert Ménard. Le maire (Rassemblement Bleu Marine) de Béziers (Héraut) a indiqué dans un reportage d’Envoyé Spécial, diffusé jeudi sur France 2, qu’il souhaite interdire l’ouverture de nouveaux kebabs dans le centre historique de la ville. « On est dans un pays de tradition judéo-chrétienne, explique-t-il. (…) Je trouve qu’à un moment donné, trop c’est trop. Quand il y a trop d’immigrés dans un pays, c’est trop d’immigrés. A un moment donné, dans le domaine alimentaire, dans le domaine de la restauration, je trouve que trop de kebabs, c’est trop. »
Une position assumée par l’édile puisqu’il tweete ce vendredi ne pas vouloir que « Béziers devienne la capitale des kebabs ». « Ces commerces n’ont rien à voir avec notre culture!
Une préemption jamais exercée
« Les Français sont attachés à leur histoire, leur culture. Quand la présence d’étrangers est trop visible, les gens se sentent menacés. Trop de vendeurs de kebabs, c’est une menace pour l’image historique et l’identité de la ville », affirmait déjà Robert Ménard au New York Times en décembre dernier.
Pour lutter contre les kebabs, la municipalité entend exercer son droit de préemption commercial. Pour cela, le conseil municipal a voté le 13 novembre 2014 un périmètre de sauvegarde du commerce de proximité au sein duquel la Ville peut préempter un bail commercial en cas de cession. « Mais l’occasion ne s’est jamais présentée », reconnaît à L’Express le maire de la Ville.