C‘est un scandale extrêmement grave qui n’étonne pas les initiés, les connaisseurs des arcanes de Big Pharma étant donné les très nombreuses condamnations judiciaires de Pfizer (mais également Merck, Gilead…). C’est la panique générale dans les rédactions depuis le 2 novembre et la publication sur le site du BMJ, une des plus célèbres revues médicales au monde, d’un papier qui démontre qu’un sous-traitant de Pfizer, preuve à l’appui, a très mal géré une partie de l’essai thérapeutique qui a conduit à la commercialisation de leur vaccin.
Les médias ont été un petit peu sonnés au départ, ils ont mis quelques jours à réagir car les tendances Twitter avait mis en première position le #Pfizergate plusieurs jours d’affilée. Du coup ils ont été obligés d’en parler mais en minimisant la gravité du scandale bien entendu comme vous pouvez le constater sur le site de la Dépêche. Selon ces derniers : “Le témoignage de l’ancienne directrice du site, Brook Jackson ne remet pas en cause l’efficacité et les résultats du vaccin mais le sérieux de Ventavia.” ! Certainement, le journaleux de la Dépêche ne sait pas que Pfizer a déjà été condamné à de très nombreuses reprises par la justice. Il ne le sait pas ou ne veut pas le savoir, dans les deux cas c’est un délinquant qui diffuse de fausses informations, incomplètes et dirigées.
On remarque également le silence assourdissant du ministre de la santé Olivier Véran. Lui qui a pourtant démarré au quart de tour lors de la publication de l’étude frauduleuse du Lancet pour interdire l’utilisation de l’hydroxychloroquine ne semble pas pressé de réagir contre ce scandale sanitaire grave. On peut donc en France faire cesser l’utilisation d’un médicament efficace et inoffensif en s’appuyant sur une étude frauduleuse et par contre fermer les yeux quand un témoignage grave concernant des dérives et anomalies d’un essai clinique qui a conduit à la commercialisation d’un vaccin sur quasiment la population entière !
Les médias continuent de terroriser la population en lui faisant croire, sottises de l’OMS à l’appui, que 500 000 Européens vont mourir prochainement et du coup, il faut absolument qu’ils acceptent la 3e dose, cette énième dose dont les 2 premières n’ont pas fonctionné et ont démontré leur inefficacité. Ils sont tous montés dans un train de mensonges à grande vitesse que plus personne ne peut arrêter si ce n’est le crash final.
C’est d’ailleurs assez comique lorsque l’on lit l’argumentation des médias concernant cette 5e vague si mortelle. Selon eux, l’épidémie redémarre pour 2 raisons. Soit la population n’est pas assez vaccinée et du coup c’est la faute aux anti vaccins. Si la population est vaccinée à 85 %, c’est la faute au non port du masque et au non-respect des gestes barrières. Il va de soi que ce ne sera jamais attribué à l’inefficacité du vaccin, c’est pourtant vers cette direction que tout esprit sain devrait se diriger.
Les dérives nombreuses de Ventavia
Les dérives sont effectivement nombreuses et assez ahurissantes étant donné les 15 ans d’expérience de Ventavia :
-
Participants placés dans un couloir après l’injection et non surveillés par le personnel clinique
-
Manque de suivi en temps opportun des patients ayant subi des événements indésirables
-
Les écarts de protocole ne sont pas signalés
-
Les vaccins ne sont pas conservés à des températures appropriées
-
Échantillons de laboratoire mal étiquetés, et
-
Ciblage du personnel de Ventavia pour signaler ce type de problèmes.
La situation était catastrophique, la directrice régionale de Ventavia, Brook Jackson, a envoyé une plainte par courriel à la FED qui n’a donné aucune suite, aucun contrôle n’a été effectué sur le site. On apprend d’ailleurs que la FDA ne réalise que très rarement des contrôles, elle n’en a pas les moyens, elle n’inspecte que 1% des sites d’essais cliniques, ils peuvent tous dormir tranquille. On apprend également que l’anonymisation n’a pas été respectée et du coup le double aveugle non plus. L’entreprise ne collectait pas correctement les données ! Le 25 septembre 2020 la lanceuse d’alerte Brook Jackson va appeler la FDA afin de signaler ces anomalies, l’après-midi même elle est licenciée par Ventavia.
D’autres employés de l’entreprise vont confirmer les propos de Brook Jackson, les anomalies vont continuer après son départ comme si de rien n’était. Ce qui démontre que l’entreprise n’a absolument pas peur d’un contrôle de la FDA. L’entreprise est responsable de 4 sites de Pfizer comptabilisant plusieurs milliers de patients. On imagine que les autres sous-traitants fonctionnent de la même manière car si Pfizer le désirait, le sérieux des essais cliniques serait d’une grande qualité.
On imagine que d’autres témoignages vont arriver dénonçant l’escroquerie vaccinale étant donné le pedigree criminel de Pfizer et des autres fabricants.