La situation est très grave et pourtant, elle est simple à réparer et corriger : contraindre les industriels à ne plus utiliser ces substances toxiques. Il suffit d’une seule loi, un seul décret. Ensuite, développer le produit local, le bio ou plus exactement l’agriculture naturelle qui a nourri l’humanité depuis des millénaires. Malheureusement, rien de cela ne sera fait, bien au contraire, la massacre agro-chimique continuera, conformément aux plans eschatologiques que vous pouvez tous constater de vos propres yeux ! Demandez-vous pourquoi !
Une étude publiée ce mercredi alerte les parents et les industriels sur l’alimentation des jeunes enfants, exposés parfois à des substances chimiques en trop grande quantité. En cause : leur alimentation.
L’agence de sécurité de l’alimentation (Anses) publie ce mercredi une étude, repérée par Europe 1, sur l’alimentation des enfants de moins de trois ans en France.
Et les résultats sont alarmants. L’agence a observé durant six ans 95% des aliments ingérés par les tout petits, à la recherche de plus de 670 substances chimiques. Si les résultats sont corrects pour la très grande majorité des substances recherchées, ils restent “préoccupants” pour neuf d’entre elles. Ainsi, de trop nombreux enfants sont exposés notamment à l’arsenic, au plomb ou encore au nickel et à certaines toxines. Ces substances toxiques se trouvent dans des aliments du quotidien comme le lait, la viande, le poisson, les céréales, les légumes et même l’eau.
Afin d’éviter toute contamination des jeunes enfants, l’ANSES recommande aux industriels de se tenir davantage informés sur ces questions et aux parents de varier le plus possible l’alimentation des petits. Tant concernant la diversité des aliments, que les marques de petits pots et plats préparés qui leur sont proposés. La méthode éviterait aux plus petits d’être exposés toujours aux même polluants et, ainsi, à des doses de polluants trop élevées.
Alors qu’actuellement, la diversification alimentaire des bébés débute généralement à quatre mois, l’ANSES recommande de ne pas la débuter avant six mois car “certaines expositions qui seraient non problématiques à un an, deux ans ou trois ans pourraient l’être avant six mois”, précise Jean-Luc Volatier de l’Anses, cité par Europe 1. L’agence recommande de ne donner à un bébé de moins de six mois que du lait maternel ou infantile. De même, le lait de vache est déconseillé avant un an. En cause, les substances chimiques qu’il contient, en trop grande quantité pour des bébés de cet âge..
Orange Actu / AFP