La réponse à la question est très simple : le rapport ne peut pas dire la vérité car la conclusion est désastreuse, c’est une catastrophe sanitaire causée par une vaccination massive de produits inconnus et ils le savent parfaitement. En d’autres termes, la solution ne viendra jamais des institutions qui protégeront toujours le système et ses membres, la solution ne peut venir que d’en bas, de la population qui devra dire stop en masse.
Une tribune, signée par plus de 850 premiers signataires, demande la totale transparence des travaux l’Office parlementaire d’évaluation des choix scientifiques et technologiques « sur les effets secondaires des vaccins contre la Covid-19 et le fonctionnement du système français de pharmacovigilance ».
En effet, derrière l’apparente publicité des débats, l’Office a rendu invisibles des interventions essentielles et particulièrement alarmantes pour la santé des Français quant aux effets secondaires des vaccins contre le covid-19.
Ainsi, les résultats des travaux de Mme Christine Cotton, biostatisticienne, de Mme Emmanuelle Darles et de M. Vincent Pavan, enseignants-chercheurs des universités de Poitiers et Marseille, entendus en audition privée par l’Office, ont été passés sous silence dans l’audition finale publique de l’Office et dans son rapport de synthèse. Pourtant, ces travaux faisaient état :
• D’importants biais dans les essais cliniques de phase 3
Les manquements et les biais dans l’essai clinique de phase 3 du vaccin Pfizer ont rendu les conclusions de l’essai clinique peu fiables du point de vue des Bonnes Pratiques Cliniques.
• Une opacité de l’information
Les chercheurs sont confrontés à l’opacité des données publiques sur les vaccins qui ne sont ni ouvertes au public ni aux chercheurs, un fait inédit dans l’histoire de la pharmacovigilance française.
• Une volonté de dissimuler la réalité de l’effets de ces vaccins
La méthode d’imputabilité des effets indésirables utilisée par les Centres régionaux de pharmacovigilance (CRPV) ne permet pas l’obtention de données complètes.
• Une sous-évaluation notable des effets indésirables
Seuls entre 1% à 10% des effets indésirables sont usuellement déclarés dans les bases de données de pharmacovigilance.
• Des chiffres de mortalité alarmants
Les bases de données de pharmacovigilance européennes (EMA) font état, à ce jour, d’environ 30 000 décès en Europe pouvant être liés au vaccin, le nombre de décès est très probablement beaucoup plus élevé, eu égard à la sous-déclaration usuelle en ce domaine.
• Des remontées inquiétantes
À ce jour, les bases de données de pharmacovigilance montrent : 1 788% d’augmentation des troubles de cycles menstruels, 732% d’augmentation d’AVC et autant de cécité en quelques mois de vaccination que sur 30 années cumulées tous vaccins confondus. 62% de ces effets indésirables surviennent le jour même de la vaccination.
Ces informations n’ont donc pas portées à la connaissance du public. La tribune, initiée par Laurent Mucchielli, directeur de recherche au CNRS, demande à ce que l’Office rende publique l’ensemble des auditions effectuées pendant ses travaux sur « les effets secondaires des vaccins contre la Covid-19 et le fonctionnement du système français de pharmacovigilance », par vidéo et par retranscription écrite.
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