Propos sur une Normandie perdue !
L’on découvre dans cette localité normande une église appauvrie dont le prêtre est égorgé, une vieille omnipotence communiste qui ne repose pas sur la démocratie, mais une terreur couronnée, comme partout où le marxisme-léninisme a été importé de l’Orient européen, de fleurs rouges du sang des véritables élites, et une communauté musulmane que le frère Boubakeur veut réformer pour la soumettre à la Fraternité officielle du Grand Architecte de l’Univers ! Éloignons de cette scène à la fois médiocre et effrayante, de ce cadre dont M. Valls avertit le bon peuple qu’il doit s’y habituer – et qui a débuté avec “l’affaire Mérah” a Toulouse ayant donné prétexte à une visite de l’arrogant M. Natanyaou venu distribuer ses consignes, dans cette ville jumelée avec Tel-Aviv depuis les années soixante par une municipalité radicale et socialiste anti-gaulliste – le spectre d’un affrontement et religieux christiano-musulman, et celui proprement ethnique ! La blonde Maréchal Le Pen n’a rien d’une Walkyrie, et n’en a pas le sang, et sa décision d’entrer dans une réserve militaire fait plutôt penser à la féminisation de Tsahal ! À parler du reste, anthropologie, la France n’a jamais eu d’unité ou de stabilité raciale, ce qui explique, outre le déracinement aisé de la religion et ensuite de la philosophie – contrairement à l’Allemagne ou aux “îles des saints” comme on nommait l’Irlande et l’Angleterre -, la facilité des révolutions en son sein, et la définition qu’en donnait Mirabeau, à la veille de 1789, d’un “agrégat de peuples désunis” donne la raison de l’impulsion à l’expansion coloniale, qui fut surtout républicaine, maçonnique et terroriste, d’un saut vers le Néant, de la “Grande Nation”, comme elle se voulait nommer. La France se serait relevée en s’appuyant sur ses “pays” ou régions, en diminuant ainsi la tumeur politique et sociale de Paris, dont l’explosion ou la purulence, en cas de subversion, serait atroce, et justifierait cette prévision que l’on attribue à l’abbesse catholique allemande “médiévale” Hildegarde de Bingen, que les étrangers maudiraient la ville qui leur aura donné l’asile !
Pareille bêtise, courante chez nos frelons maçonniques, fait que nous avons ces dirigeants que nous méritons,…
Il suffit de peu pour qu’un pays s’embrase, et s’il est vrai que notre Normandie justifiera encore sa réputation de pays équilibré, une fois effacé, par l’effet du temps, son cruel martyre sous les bombardements civils militairement inutiles des Anglo-Américains, il n’en demeure pas moins que quelques individus et groupes préparés à incendier et à tuer, ont été en tout temps ce que nos historiens officiels et orateurs en loge nomment “le peuple”.
Je donnerai comme exemple de stupidité dangereuse, et de dégénérescence nationale, quelque réaction d’un Conseil général que je ne nommerai point par discrétion, ni ne situerai géographiquement, mais dont je certifie honnêtement l’authenticité, que telle personne est refusée à un poste de haute responsabilité culturelle, sans analyse de son dossier de candidature, sur son seul nom – ce que la langue de bois entend par discrimination ! -, et ne croyez pas qu’il fût musulman ou africain, non mais italien, car cela “faisait trop catholique”. Pareille bêtise, courante chez nos frelons maçonniques, fait que nous avons ces dirigeants que nous méritons, et que partout règne cette jalousie égalitaire destructrice des talents qui, au contraire, impulsent le développement de notre voisine d’Outre-Rhin !
Le temps est passé où la Normandie était plus riche que le reste du pays, où Rouen l’emportait de loin sur Paris, où la fine fleur de la littérature, au début du XVIe siècle, admiratrice des chefs d’œuvres castillans, était normande avant de se courber sous la férule du “Mars Très Chrétien”, comme l’Europe désignait après Leibniz, le tyrannique Louis XIV. Là où règne encore un parti communiste fort ou assimilé, d’essence non pas seulement athée mais déicide, c’est-à-dire voulant briser tout instinct divin, la religion peut subsister, mais comme une boîte vide, ainsi que le Sanhédrin a continué, après avoir abandonné, croyant le tuer, Issa (béni soit-il) à Dieu qui le fait, jusqu’au triomphe final, échapper aux griffes de ses tortionnaires faisant souffrir le monde.