Il est évident qu’en France le PS est mort, il ne résistera pas, à l’instar du Pasok grec ou du PC français, aux innombrables trahisons des 5 dernières années ! Hollande est déjà enterré, il sera recasé dans une institution à 25.000 € par mois et le tour sera joué. Du coup, la seule alternative, n’en déplaise aux frontistes bleu-blanc-rose, reste l’UMP ou LR. Fillon est trop mou, Sarkö est grillé, voire carbonisé ; il ne reste de sérieux que ce délinquant politique, ce voyou condamné par la justice dans les affaires d’emplois fictifs, Alain Juppé. C’est vrai qu’il fait sérieux, austère, le crâne dégarni fait penser à un grand intellectuel, un expert comptable pointilleux, sauf qu’il n’en est rien. Rappelons que Juppé a été responsable du chaos libyen puisqu’il était aux ordres de Sarkö dans le gouvernement Fillon.
Bref, il est plus que probable, si une guerre civile n’explose pas avant, précipitée et aggravée par un krach financier sans précédent, que Juppé soit à l’Élysée en 2017 et qu’il nomme Fillon comme chef de gouvernement. C’est le cas aussi aux USA qui vont présenter un débile mental comme Trump face à Hillary Clinton. Tout esprit sain ne peut qu’espérer la victoire de la légitime de Bill, à moins que les yankees soient assez stupides pour voter Trump, folie qui, du reste, n’étonnerait pas grand monde…
Concernant la vidéo ci-dessus, on voit que Juppé essaie maladroitement de tourner la question sur des histoires d’intelligence artificielle, tout en faisant croire que les puissants de ce monde, dirigés par des banksters, ne sont pas là pour prendre des décisions et influer sur la marche du monde ; ils sont là juste pour papoter autour d’une partie de bridge ! Concernant les écoutes téléphoniques, la question est simple, il balancera tout de même le faux couplet selon lequel les USA ont libéré la France en 14-18 puis en 39-45, tout en omettant de préciser que c’est le traité de Versailles qui a engendré 39-45 et qui a mis la France sous tutelle US. Il ne faut pas non plus oublier de citer le plan Marshall qui représentait en quelque sorte la rançon à payer pour leur engagement dans la guerre, car ce n’était ni gratuit et encore moins fait pour des raisons morales. Mais cette version de l’histoire n’est pas enseignée, ni promue par nos élites corrompues et soumises aux yankees.
Alain Juppé va faire son entrée parmi l’élite mondiale de la finance, de l’économie, de la politique et des médias. Cette année, le groupe Bilderberg l’a en effet convié à son huis clos ultra sélect.
Ce club qui se réunit chaque année dans la plus grande discrétion, réunira 140 personnes issues de 22 pays au cours de son 63e rendez-vous de jeudi à dimanche dans le village autrichien de Telfs-Buchen, près d’Innsbruck.
Parmi les invités politiques figurent, le premier ministre belge Charles Michel, le ministre néerlandais des Finances Jeroen Dijsselbloem, patron de l’Eurogroupe, le président autrichien Heinz Fischer et le secrétaire général de l’Otan Jens Stoltenberg.
Alain Juppé, comme par exemple François Fillon avant lui, sera la tête d’affiche de la délégation française cette année, où l’on trouvera aussi Laurence Boone, la conseillère économique du président français François Hollande, ainsi que le patron de Michelin Jean-Dominique Sénard, ou de l’universitaire spécialiste du monde arabe Gilles Kepel.
C’est aussi un Français, le patron des assurances Axa, Henri de Castries, qui préside le groupe Bilderberg.
Le groupe, surnommé par ses détracteurs « les maîtres du monde », a été fondé en 1954 par le prince Bernhard des Pays-Bas et le milliardaire David Rockefeller dans un hôtel portant le nom de Bilderberg, aux Pays-Bas. Son existence aliment depuis longtemps une multitude de théories conspirationnistes, suscitées par l’absence totale de communication autour des réunions. Celles-ci se déroulent sans ordre du jour et ne font l’objet d’aucune déclaration publique. Les invités ont même pour obligation de se taire à propos de ce qui se dit au cours des réunions.