Cette crise sanitaire arrange beaucoup d’escrocs et de vauriens. Ils sont nombreux à avoir gagné de l’argent en fraudant ou tout simplement en acceptant de rester à la maison sans se poser la moindre question sur la gravité de l’explosion de la dette ! Une entreprise radiée du registre de commerce a réussi à cumuler 44.000€ d’aides pour indemniser des salariés qui n’existent pas ! Des pharmaciens véreux ont déclaré avoir livré des millions de tests antigéniques fantômes et la Sécurité sociale a tout de même payé les fraudeurs ! La facilité avec laquelle cet argent magique a été distribué est plus que douteuse, c’est la preuve de la volonté du gouvernement de corrompre les libéraux et autres chefs d’entreprises afin qu’ils ne se révoltent pas. C’est voulu, prémédité et ça a bien marché sauf que les conséquences de cette dette seront calamiteuses.
La situation était tellement folle, les remboursement si faciles, que des mafias internationales – franco-israélienne – ont délesté le Trésor public de dizaines de millions d’euros en usurpant l’identité (Siret) des entreprises. Pire encore, les tentatives de fraudes ne sont même pas poursuivies en justice faute de temps et de moyens ! Il n’y a plus de gestion de l’Etat et de ses institutions, tout est corrompu et détruit.
Publiée le 28 août 2021
Quoi qu’il en coûte : enquête sur les escrocs du C0VID
Tout est parti du cri de colère d’une poignée d’inspecteurs du travail. Les milliards d’euros injectés par l’État pour indemniser le chômage partiel pendant la crise ont certes permis de maintenir en vie des milliers d’entreprises et de sauver des emplois.
Mais ils ont aussi aiguisé l’appétit des voleurs, petits fraudeurs comme escrocs de haut vol. Des cages d’escalier de la banlieue parisienne aux sièges de grandes entreprises, Delphine Lopez et Xavier Deleu ont enquêté sur l’histoire incroyable de ces millions d’euros d’argent public envolés. Sociétés bidon, patrons indélicats, escroqueries sophistiquées, ils ont remonté, parfois jusqu’à l’étranger, la piste des petites et des grosses magouilles qui coûtent si cher à la collectivité.
Leur enquête les a aussi menés dans les tribunaux de commerce. Une ordonnance discrète du gouvernement a autorisé les chefs d’entreprise à reprendre leurs sociétés en dépôt de bilan.
L’occasion inespérée d’effacer ses dettes à bon compte ! Certains en ont bien profité…
Réalisateur : Delphine Lopez
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