La question intéressante à poser est la suivante : que fait ce criminel de guerre en Tunisie, après avoir mis la Libye à feu et à sang ?!! Qui a pris la folle initiative de recevoir cette crapule ? Lui qui ose encore traiter Kadhafi de dictateur sanguinaire en omettant de rappeler qu’il l’a reçu à Paris en grande pompe et avec les honneurs dus à son rang, lorsqu’il était président (2007-2012) ! C’est tout de même extraordinaire qu’il soit reçu en Tunisie après le carnage libyen qui a ouvert la voie au terrorisme en Tunisie, justement ! Le pouvoir tunisien prouve par ce déplacement qu’il est corrompu. Pour finir, la tonalité de son discours est des plus insupportable, empreinte d’un paternalisme colonialiste à faire gerber et tendant à faire croire qu’il veut le bien de la Tunisie et qu’il sait comment s’y prendre, contrairement aux pauvres bougnoules ignares… Quant à l’Algérie, Sarkozy nourrit certainement les mêmes desseins que Grosal qui a osé déclarer : « Plus je vois la merde noire (corruption, intégrisme, généraux…) dans laquelle l’Algérie s’enfonce un peu plus chaque jour, […] plus je me dis que leur seul espoir, c’est qu’on y retourne. » Une vision purement sioniste des rapports entre nations.
Réveille-toi peuple tunisien, réveille-toi et chasse de ton pays les crapules sionistes et leurs laquais.
L’ancien président de la république française, Nicolas Sarkozy, estime que la Tunisie a le malheur de partager sa frontière avec l’Algérie et la Libye ! “La Tunisie est frontalière avec l’Algérie (et) la Libye. Ce n’est pas nouveau, vous n’avez pas choisi votre emplacement”, a-t-il fait savoir sur un ton ironique et moqueur. Une déclaration qui n’a pas manqué de susciter l’étonnement des Tunisiens. Des propos qui commencent d’ores et déjà à défrayer la chronique.
En visite de travail de trois jours à Tunis, Nicolas Sarkozy a voulu délivrer, dés son arrivée dimanche soir, un “message de soutien” aux Tunisiens, dans lequel il exprime une profonde inquiétude vis-à-vis de l’Algérie. Un pays qui le préoccupe beaucoup et suscite en lui de nombreuses craintes. “L’Algérie, qu’en sera-t-il dans l’avenir ? De son développement, de sa situation ? C’est un sujet qui, me semble-t-il, doit être traité dans le cadre de l’Union de la Méditerranée”, a-t-il clairement affirmé à Tunis.