À partir du moment où on choisit les protagonistes d’une affaire aussi grave lorsqu’il est question de la plus grande association internationale de défense des droits de l’homme, il faut se dire qu’il y a quelque chose de louche derrière cette décision. Les initiés comprendront qu’il y a des choses à cacher, d’autant qu’Amnesty a déjà démontré qu’elle avait la capacité de dénoncer les dérives de Kiev. Si véritablement il y a un « charnier » de plusieurs centaines de corps, c’est très facilement démontrable et il faut absolument que le monde entier le sache, il n’y a donc aucune raison d’interdire à Amnesty International d’enquêter sur place.
We reiterate our call for the international community to provide resources to assist Ukraine in securing evidence and conducting the necessary investigations to hold Russia accountable for its aggression in Ukraine.
— Amnesty International (@amnesty) September 20, 2022
⚠️ KIEV INTERDIT À AMNESTY D'ALLER ENQUÊTER SUR LE "CHARNIER" D'IZYUM
Selon le journal🇦🇹Kronen Zeitung,
le ministère de la Défense🇺🇦 a retiré son accréditation à Amnesty Internatl.
L'ONG ne peut donc pas vérifier l'existence de crimes de guerre🇷🇺 à Izyum. https://t.co/xIr3UBNWhG— François Asselineau (@f_asselineau) September 22, 2022