Quel est l’être humain normalement constitué qui peut imaginer une seule seconde, qui peut accepter que les contrats d’achat des injections d’ARN messager anti Covid-19 restent secrets et inaccessibles au public alors qu’ils ont coûté plusieurs milliards à chaque pays occidental ? Qui peut ne serait-ce qu’imaginer un tel scénario ? Même les députés n’ont pas accès à ces contrats, que ce soit en France ou au niveau européen et bien entendu dans ce cas, au Canada. C’est la démonstration que ces contrats sont illégaux, qu’il y a des choses à cacher car les clauses sont inacceptables. Autrement, tout ceci aurait été publié depuis longtemps sur les sites officiels du gouvernement avec la transparence qui s’impose à ce genre de contrats. Une chose est certaine, garder le secret ne peut être qu’à l’avantage de Big Pharma et certainement pas à celui des contribuables qui non seulement ont payé ces injections mais, de surcroît, doivent en assumer les effets indésirables.
OTTAWA ( LifeSiteNews ) — Le cabinet libéral du premier ministre Justin Trudeau exige que les députés prêtent serment de confidentialité s’ils veulent consulter les conditions des contrats de plusieurs milliards de dollars du gouvernement concernant les vaccins contre la COVID-19.
Les membres du comité des comptes publics de la Chambre des communes ont qualifié la demande – qui équivaut à la signature d’un accord de non-divulgation (NDA) – de dangereux précédent pour la transparence au sein du gouvernement canadien.
Le journaliste de Blacklock a écrit que depuis deux ans, de nombreux députés cherchent à avoir accès aux termes des accords que le gouvernement libéral a conclus avec les fabricants de vaccins AstraZeneca, Johnson & Johnson, Medicago, Moderna, Novavax, Pfizer et Sanofi.
Pour l’instant, aucun détail n’a émergé concernant les détails des contrats, même si 1 milliard de dollars de vaccins COVID ont expiré.
Les députés libéraux du comité des comptes ont déclaré que les non-libéraux ne peuvent voir les détails que s’ils jurent de ne révéler aucune information.
Le député libéral Anthony Housefather a déclaré : « Nous voulons nous assurer que la confidentialité est respectée.
La députée conservatrice Kelly McCauley a déclaré qu’il « semble qu’ils essaient de protéger le gouvernement et non les contribuables ». « Cela vous fait demander, quelle est la prochaine? » il ajouta.
Le président du comité, le député conservateur John Williamson, a demandé aux libéraux : « De quoi essayez-vous de vous protéger ?
Housefather a répondu que sa « préoccupation serait que quelque chose sorte », sans expliquer à quoi exactement cette préoccupation se rapportait.
Housefather a semblé faire allusion au fait que les libéraux n’avaient pas obtenu la meilleure offre ou qu’ils avaient peut-être été surfacturés, affirmant que les accords « ont été signés à un moment très inhabituel, juste au début de la pandémie, alors que les vaccins étaient très rares et que les fournisseurs en avaient beaucoup ».
La députée du Bloc Québécois, Nathalie Sinclair-Desgagné, a estimé que « c’est à leur avantage que cela reste confidentiel ».