Il est vraiment l’indésirable de la politique, à l’instar de Sarközy, c’est le pestiféré du peuple, celui dont personne ne veut. Il est pourtant là, toute honte bue, à expliquer qu’il a l’étoffe d’un président, au motif qu’il a été premier ministre du gouvernement Hollande, le gouvernement aux 10% de satisfaits ou plus exactement de 90% d’insatisfaits ! Le traître de la gauche, celui qui a mis en place le programme inverse de celui pour lequel ils ont été élus !
En récoltant 30% des voix des 1.5 million d’électeurs à la primaire de gauche, Valls ne dépasse guère 1% des 45 millions d’électeurs français à la présidentielle ! Comment peut-il oser se présenter comme une alternative sérieuse populaire et démocratique ?!
Bref, il n’y a que des frères la truelle du GODF pour être à ce point dépourvu de dignité et oser se présenter dans une primaire qui ne réunit pas 1% de l’électorat global, sans rougir et en se présentant au monde entier comme un modèle de démocratie…
La campagne de Manuel Valls pour la primaire de la gauche n’est décidément pas un long fleuve tranquille.
À peine arrivé sur scène, vendredi 20 janvier au soir, au Trianon, dans le 18e arrondissement de Paris, pour un ultime meeting devant ses partisans avant le premier tour, dimanche, l’ex-Premier ministre a été interrompu par un manifestant qui a crié depuis le balcon de la salle de spectacle : « 49.3, on n’oublie pas ».
Cinq personnes évacuées par le service d’ordre
L’homme qui a perturbé le meeting a été aussitôt hué par le public et Manuel Valls a débuté son discours. Selon les informations de franceinfo, cinq personnes au total ont été évacuées de la salle par le service d’ordre.
À l’extérieur du Trianon, gardé par un cordon policier, quelques dizaines de manifestants ont exprimé leur désaccord avec l’ancien chef du gouvernement au cri de : « Et tout le monde déteste Manuel Valls », selon la vidéo filmée par un journaliste sur place.
France TV Info