Voici encore une fois la démonstration que le projet mondialiste de sauvetage de la planète par le tout électrique est inconcevable, il est carrément destructeur. Pourquoi ? Tout simplement par le fait que la production des batteries est extrêmement gourmande en eau, ressource qui semble être rarissime étant donné que nous sommes en sécheresse selon la Doxa ! À savoir premièrement : 1 tonne de lithium nécessite l’utilisation d’un million de litres d’eau ! Sachant qu’il faut 8 à 9 kg de lithium pour une batterie pouvant réaliser 500 km (on peut fabriquer à peine un peu plus de 100 véhicules avec 1 tonne de lithium) ! Sachant que la durée de vie d’une batterie de voiture au lithium est de 10 ans, ce qui est très peu.
Deuxièmement : cette technologie est trustée par la Chine, nous serons donc complètement dépendant de ce pays et nous avons vu lors de la crise du Covid-19 à quel point c’était dangereux. C’est d’autant plus grave que les candidats France est basé sur le transport des travailleurs et des entrepreneurs ; cela permettra à la Chine – qui pollue infiniment plus que la France – de prendre une avance considérable.
Troisièmement : l’imposition de cette technologie va mettre au chômage un nombre très important de fabricants de pièces détachées de moteurs essence. Elle va également créer une disparité spectaculaire entre les pauvres et les riches étant donnés que seuls ces derniers pourront se payer des Zoé électriques à 32 000 € !
100% des voitures vendues en France en 2035 seront électriques ou hybrides : c’est ce qu’assure Emmanuel Macron ce lundi matin dans une interview aux “Echos”, à l’occasion de l’ouverture du Mondial de l’Auto à Paris.
Cet objectif “est tenable, mais à quel prix ?” s’interroge François-Xavier Pietri, journaliste spécialisé. Aujourd’hui, 20% des nouvelles voitures sont électriques.
Les « dégâts écologiques considérables » du lithium
Le journaliste pronostique qu’en 2035, « il y aura beaucoup beaucoup beaucoup de voitures importées de Chine », car la filière électrique sera loin d’être 100% française. « Aujourd’hui, les batteries sont produites à 80% par l’Asie. Renault va s’associer avec la Chine pour construire des batteries en France dans des giga-factories », explique-t-il.
Emmanuel Macron évoque aussi l’ouverture en France de mines de lithium, qui sert pour fabriquer les batteries. Ce à quoi François-Xavier Pietri ne croit pas, pour des raisons de normes environnementales. Il rappelle que « le lithium provoque des dégâts écologiques considérables ». « Pour sortir une tonne de lithium, il faut utiliser un million de litres d’eau. Pour produire le lithium d’une seule batterie, il faut la consommation d’eau de 500 personnes pendant un an », dit-il. « Alors on assèche le Chili. Mais on n’est pas capable en Europe de faire ça, quand on voit les problèmes de sécheresse qu’on a eu cet été. Donc si on en développe, ce sera toujours très faible », analyse-t-il.
Le journaliste s’inquiète aussi d’une disparité entre les riches et les pauvres. « Pour être vertueux, il faudra mettre de l’argent. Une Zoé électrique, au prix catalogue, c’est 32.000 euros. Une Clio essence c’est 17.000 euros », dit-il. Quant au futur de l’industrie automobile française, il pense que « les grands constructeurs vont s’en sortir ». D’après lui, « ceux qui vont souffrir, ce sont les petits, les sous-traitants, ceux qui fabriquent les embrayages, les culasses ».Il pointe du doigt un passage à l’électrique « brutal ». « Il y a d’autres solutions, les voitures au bio gaz et à l’hydrogène par exemple », conclut-il.
Source : François-Xavier Pietri