Benoît Hamon et la pauvreté allemande
Le militant socialiste et député européen brestois de naissance, qui n’est, au parti socialiste, que l’homonyme d’un porteur de nom de code de la résistance secrète armée “alliée” contre l’Allemagne en guerre, à savoir de feu le parisien Léo Hamon (1908-1995), – né Lew Goldenberg (montagne d’or !) d’un lignage émigré de Russie, de famille de médecin polonais ouvertement marxiste, et inscrit, lui, au parti chrétien démocrate du Mouvement Républicain populaire de la Quatrième République, ensuite gaulliste de gauche -, Benoît Hamon redit ce que le chef du minuscule et cependant bien nourri parti communiste allemand contemporain intitulé “La Gauche” (Die Linke), issu d’une riche bourgeoisie berlinoise d’origine suisse, d’avant et surtout d’après la première guerre mondiale, le marxiste ex israélite, Gregor Gyzi – dont le père Klaus (1912-1999), fut, en plus d’être ministre de la culture, celui des divers cultes, lui-même marxiste-léniniste athée, dans la zone d’occupation soviétique et employeur direct du père de madame Merkel, (le grand-père de la chancelière, Ludwig était d’origine polonaise né Kazmierczak germanisé en Kasner ayant épousé, voir Wikipedia, une femme d’origine juive polonaise Herlind Jentszch), théologien protestant immigré volontaire dans un régime que chacun s’efforçait de fuir, et opposé à la réunification du pays ! Quel patriotisme touchant ! L’Allemagne est peut-être une communauté riche, travailleuse, au taux de jeunesse chômeuse le plus bas d’Europe, en comprenant ses hôtes imposés et renouvelés par le sieur Georges Schwarz dit Soros, mais une partie de ceux qui y travaillent vivent pauvrement. Il est vrai que l’inverse se produit ici, où des gens qui n’ont jamais travaillé touchent de quoi survivre et sont soutenus par un crédit et une illusion que ce processus continuera ! S’agit-il de réciter la fable de la cigale et de la fourmi ?
La vérité “hamonienne” doit s’accompagner, pour être complète, d’observations qui dépassent la vue de notre gauchisme de luxe, de celle que l’on nommait la gauche caviar, dont le Berlin chômeur, sous le coup des perfusions alliées, des années vingt, est le nec plus ultra, le sommet de la culture libertine et de ses excès connus ! L’Allemagne est fondamentalement riche, faut-il le redire, pour deux raisons permanentes tenues ignorées par nos médias : la force plus que bi-séculaire de son enseignement professionnel ou écoles techniques supérieures nées après la révolution séditieuse fruit de sociétés secrètes, non populaire, mâtée avec le soutien de la nation, de 1848-50. Écoles créées en Saxe puis en Autriche et généralisées en tout pays allemand, et en second lieu, par la conservation d’une classe moyenne d’où sont sorties les PME nombreuses modernisées sur le territoire de l’ancienne zone communiste délabrée. Cette constance morale et politique, fait que les adversaires du pays, qui sont les Alliés des deux dernières guerres, le tiennent toujours en soumission politique, militaire (avec son stock de bombes atomiques) et maintenant démographique, en espérant que la démoralisation consistant à écarter la jeunesse d’une foi en la croissance ethnique du pays, se prolongera avec une immigration massive détruisant toute relation à une culture pluriséculaire, profonde et unique en Europe.
C’était l’âge des philosophes studieux dans un pays alors chrétien qui n’avait pas besoin d’inventer un socialisme tout en gueule !
Comme des médecins qui vaccinent pour affaiblir le corps, tout en prétendant le protéger, les politiciens occidentaux et orientaux ont dépossédé, après son unification, l’Allemagne de sa monnaie, l’initiateur étant François Mitterrand, notre cigale rouge et rose, et lui ont auparavant imposé, pendant la guerre froide, de verser des sommes énormes pour l’entretien des régimes communistes, dont la Pologne autoritaire de l’ancien agent soviétique d’une aristocratie dégénérée Woijciech Jaruzelski (1923-2014) occupant contre toute légalité internationale des territoires allemands vieux de plusieurs siècles ! Aujourd’hui le Congrès américain, comme Benoît Hamon le fait, rappelle aux riches fourmis, que des gens vivent mal, à cause d’elles, notamment aux États-Unis, victimes de leurs persécutions et autres misères qui sont les seules choses connues de nos cancres scolaires, et qu’il les faut entretenir ! C’est ainsi que les bénéfices allemands partent en saignées et naturellement jusque dans ce pays groupé autour de son monument funèbre visité par le Pape, et a tant de souffrance intérieure qu’il est devenu sourd aux plaintes des spoliés palestiniens et piétinent les familles sous des bombardements !
Dire que l’Allemagne régit l’Europe en lui imposant un système est le monde vu à l’envers ! L’Europe politique est une machine de guerre pour empêcher l’Europe réelle d’être libre d’exercer son activité ! Le parti socialiste français, création artificielle, sous les initiales de S.F.I.O. (section française de l’internationale ouvrière) née entre les deux guerres dans une loge maçonnique de la ville de Tours, vit en parasite et de la société française et du continent, attaché à ceux qui l’animent d’Outre Atlantique. Hier il fut atlantiste et le demeure, car il n’est pas un travailleur pauvre, comme il en voit, à travers les lunettes du clan Gyzi, en Allemagne, mais un riche qui fait tout pour que le pays ne travaille plus, ruine son enseignement professionnel, rend l’école inutile avec des diplômes sans valeur et un analphabétisme alarmant, avec une population devenue incapable de lire, arrogante et de plus en plus alcoolique en toute parité de sexe, vinassière, l’observait le médecin parisien breton Louis Ferdinand Céline, et mentalement affaiblie !
Des voix se font entendre en Allemagne pour comparer l’injustice de forcer des travailleurs à subir des conditions de vie difficiles, alors que d’autres viennent, l’argent plein les poches, demander de son lait, au besoin en la bousculant et en l’insultant, à la vache allemande qui se transformera un jour, par un effet de la colère divine, en taureau ! Car tout s’use, à commencer par le sentiment de culpabilité d’exister que les faux prophètes progressistes ont répandu sur un peuple aimant à croire comme à créer, et donc suspect au Diable destructeur.
Je ne terminerai pas ce billet sans rappeler ce pieux conseil que le père de notre philosophe Diderot donna en 1759 par écrit aux siens : “Je donnais tant par semaine à un aveugle. Vous lui continuerez cette aumône tant qu’il vivra ; j’aurai bien plus besoin de ses prières quand je ne serai plus. Mes enfants, je vous recommande surtout le soulagement des pauvres. N’aliénez pas, autant que vous le pouvez, les fonds que je vous laisse.” C’était l’âge des philosophes studieux dans un pays alors chrétien qui n’avait pas besoin d’inventer un socialisme tout en gueule !