Le cas de ce praticien, victime des effets indésirables de la vaccination anti Covid-19, est typique de l’hystérie vaccinaliste covidiste. Il est jeune, non malade, en pleine forme, il décède d’un caillot sanguin dans le cerveau et pourtant le système de soins a estimé que le décès était dû à une « cause naturelle » et va donc essayer d’exclure tout effet indésirable lié à la vaccination. Pourtant, tout le monde connaît ces effets indésirables, de très nombreuses victimes dans le monde entier ont été recensées. Les covidiots les plus dégénérés vous expliqueront que c’est le prix de la liberté, c’est ainsi que l’on doit se comporter pour ne plus subir les confinements, et ne pas mettre en danger autrui. En d’autres termes, pour que les autres ne prennent pas de risques, il faut être prêt à mourir soi-même ! C’est d’une logique implacable. On peut aller plus loin, pour protéger les octogénaires, il faut que des trentenaires prennent des risques mortels. En se comportant de la sorte, le système de soins occidental protège Big Pharma qui a engrangé des dizaines de milliards de bénéfices, tout en étant protégé, par les contrats, de toutes poursuites judiciaires, il y a là une complicité des médecins de toute mise en cause. D’ailleurs, Big Pharma continue d’affirmer que la vaccination a beaucoup plus de bénéfices que d’inconvénients alors que tout le monde a pu constater l’inverse, surtout dans les pays où les taux de vaccination n’ont pas dépassé les 15 % et qui ne parlent plus du Covid-19 depuis presque 2 ans maintenant…
Covid : il a été victime d’une thrombose induite par le vaccin
En tant qu’employé du NHS (système de la santé publique britannique), le Dr Stephen Wright faisait partie des personnes prioritaires lors de la campagne de vaccination contre la Covid-19 début 2021. Peu de temps après avoir reçu l’injection, le père de deux enfants sans antécédents médicaux, a eu un caillot sanguin au cerveau qui lui a coûté la vie. Il avait alors été inscrit sur son certificat de décès : “causes naturelles”. Son épouse Charlotte Wright s’est battue pour faire reconnaître le rôle du vaccin dans le décès du trentenaire.
Et, Andrew Harris, le coroner du tribunal du sud de Londres, a confirmé le 20 avril 2023 l’implication du produit. L’enquête menée a révélé que le psychologue avait souffert d’un infarctus du tronc cérébral, d’une hémorragie cérébrale et d’une « thrombose induite par le vaccin« . L’expert estime qu’il s’agit d’un “cas très inhabituel et profondément tragique ».
La cause du décès va ainsi être modifiée sur les documents officiels comme le souhaitait la famille du Dr Stephen Wright. Le professionnel ajoute qu’il est “très important d’enregistrer comme un fait qu’il s’agit du vaccin AstraZeneca – mais cela est différent de blâmer AstraZeneca ».
Le Dr Mark Howard – pathologiste consultant et médecin légiste au King’s College Hospital également entendu dans cette affaire – a ajouté pour sa part selon The Independent : « nous ne savions pas qu’il s’agissait d’un effet secondaire potentiel à ce moment-là”.
De son côté, l’épouse du défunt a déclaré après la décision : « il a été précisé que Stephen était [précédemment] en forme et en bonne santé et que sa mort était due à la vaccination d’AstraZeneca. Pour nous, cela nous permet de pouvoir continuer notre litige contre AstraZeneca. Ceci est la preuve écrite”. Elle a confié à l’émission World at One de BBC Radio 4, « Même avec des proches, il y avait des questions et des interrogations pour savoir si je disais réellement la vérité, donc, deux ans plus tard, je peux enfin dire que c’est la vérité. »
Le porte-parole d’AstraZeneca a réagi après la décision du médecin et a souhaité indiquer « les avantages de la vaccination l’emportent sur les risques d’effets secondaires potentiels extrêmement rares ». Il a ajouté : « nous sommes très attristés par le décès de Stephen Wright et adressons nos plus sincères condoléances à sa famille pour leur perte. La sécurité des patients est notre priorité absolue et les autorités réglementaires ont des normes claires et strictes pour garantir l’utilisation sûre de tous les médicaments, y compris les vaccins ».
AstraZeneca : déconseillé aux moins de 55 ans
Si la hausse des risques de caillots sanguins et de thrombose avec le vaccin d’AstraZeneca n’était pas encore identifiée au début de la campagne de vaccination, elle a été pointée du doigt par plusieurs travaux par la suite. Une étude publiée dans le British Medical Journal (BMJ) en octobre 2022 a confirmé “après une première dose (du vaccin AstraZeneca), on observe un risque de thrombopénie supérieur de 30 % par rapport à une première dose (du vaccin Pfizer/BioNTech)”.
Les recherches menées sur les raisons de ce risque avancent qu’une partie du produit peut déclencher une réaction en chaîne complexe. Elle implique le système immunitaire qui est alors susceptible d’entraîner le développement de caillots dans de rares circonstances.
Cette complication, dont Stephen Wright n’a pas été la seule victime malheureusement, a conduit les autorités sanitaires de plusieurs pays dont le Royaume-Uni et la France à déconseiller le produit d’AstraZeneca aux plus jeunes.
“La survenue, très rare, mais grave, de cas de syndrome thrombotique thrombocytopénique (TTS) chez des personnes vaccinées avec Vaxzevria a amené la HAS à recommander le 19 mars 2021 de n’utiliser ce vaccin que chez les personnes âgées de 55 ans et plus”, indique l’agence française.
Photo d’illustration : JAIR FERREIRA BELAFACCE/ISTOCK
24 avril 2023