Voici une thérapie, parmi tant d’autres, qui pourrait avoir des résultats intéressants ! On remarque la répression illégale de l’état contre des parents plus que responsables, comme si des fonctionnaires anonymes pouvaient prodiguer plus d’amour au petit Ashya que ses parents !!! Cette façon de faire est des plus insupportable, d’autant que l’on apprend régulièrement par ailleurs, que des enfants maltraités par des alcoolo-drogués n’ont pas été sauvés, malgré plusieurs signalements. Attention, petit bémol, chaque remède dont on entend parler ne peut être efficace sur les 200 types de cancers…
La tumeur au cerveau du jeune Britannique qui avait été sorti clandestinement par ses parents d’un hôpital anglais, pour aller suivre un traitement en République Tchèque, est “neutralisée”, a affirmé lundi l’avocat de sa famille.
“Une nouvelle incroyable”, a déclaré le père d’Ashya King. Le petit Britannique atteint d’une tumeur au cerveau n’a plus de cellules cancéreuses. “La tumeur est totalement neutralisée. Elle ne contient (plus) de cellules cancéreuses grâce à la protonthérapie”, a déclaré l’avocat espagnol de la famille du jeune garçon, Juan Isidro Fernandez Diaz.
“Il doit encore faire de la rééducation mais il se rétablit très bien”, a-t-il assuré, indiquant qu’il pouvait marcher et manger. Dans son édition de lundi, le tabloïd britannique The Sun se montre beaucoup plus catégorique, affirmant que le petit garçon de cinq ans “n’a plus de cancer”.
“C’est une nouvelle incroyable. Nous sommes absolument enchantés”, a confié au Sun le père d’Ashya, Brett. “Nous en sommes très heureux même s’il est prématuré d’évaluer cette information d’un point de vue médical”, a de son côté déclaré Iva Tatounova, directrice de la stratégie du Proton Therapy Centre (PTC) de Prague, où Ashya a reçu le traitement de protonthérapie à l’automne dernier.
La police aux trousses des parents
Une véritable chasse à l’homme avait été lancée au mois d’août après que les parents du petit garçon l’avaient fait sortir clandestinement d’un hôpital de Southampton, en Angleterre, pour l’emmener en Espagne, où ils possèdent une maison.
Les autorités britanniques estimaient qu’ils avaient mis la vie de leur enfant en danger tandis que les parents voulaient que leur fils bénéficie d’un traitement moins agressif et plus ciblé que celui proposé en Angleterre.
“Nous savons que nous avons fait ce qu’il fallait pour Ashya (…). Nous avons été arrêtés pour négligence et cruauté envers un enfant. Mais laisser Ashya dans le NHS (le service public de santé britannique, Ndlr) aurait été encore plus cruel”, s’est défendu son père auprès du Sun.
“Si nous avions laissé Ashya avec le NHS en Grande-Bretagne, il ne serait plus avec nous aujourd’hui. Il était trop faible et n’aurait pas survécu”, a estimé sa mère, Naghmeh, également citée par le tabloïd.
Un traitement inexistant en Grande-Bretagne
Interpellés, les parents d’Ashya avaient passé quatre jours en prison en Espagne, avant d’être libérés et d’emmener leur fils à Prague, où il a suivi trente séances de protonthérapie au PTC.
Ce traitement, qui n’est pas disponible en Grande-Bretagne, consiste à détruire les cellules cancéreuses en les irradiant avec un faisceau de protons, focalisé sur les lésions et épargnant ainsi les tissus sains.
La famille est depuis rentrée en Espagne, où le petit garçon se rétablit entouré de ses quatre frères et sœur.
- Source :
http://www.bfmtv.com/
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