En réalité la situation est beaucoup plus grave que ça car selon le témoignage de Monsieur Charles de Courson, dans la presse locale, il aurait été contacté par un proche d’Emmanuel macron afin de le corrompre, de l’acheter ! Ce n’est pas qu’une crise politique, ce n’est pas du tout une crise sociale, c’est d’abord une crise institutionnelle. C’est une crise grave des élites politiques totalement corrompues et vendues au grand capital, à Washington et Londres, qui n’aiment certainement pas la France et dont certains n’ont même pas d’enfants.
Quand en on arrive à faire des bras d’honneur à l’Assemblée nationale, à menacer de mort des collègues au Sénat, à corrompre des députés afin qu’ils ne votent pas la motion de censure, il n’est plus possible de décrire le système politique français comme démocratique, ça n’a plus aucun sens. Si on ajoute à cela la répression féroce des forces de l’ordre avec l’utilisation illégale de la nasse, l’utilisation d’armes de guerre et la mise en garde à vue systématique de centaines de manifestants pacifiques en toute illégalité, on constate que le premier responsable de troubles à l’ordre public est le gouvernement !
“On me fait comprendre que si je soutiens la #MotionDeCensureTransPartisane, cela empêcherait la destruction de bidonvilles à Mayotte. Vous imaginez la gravité du chantage !”