Claire Pitollat, encore une députée Larem qui confond sa carte bleue de députée avec son argent perso !

Turn-over de 19 collaborateurs en 5 ans pour s’occuper de ses enfants, s'occuper du pressing, gardiennage privé + vacances, shopping, sushis...

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Cette dame est le prototype même du macroniste ! Elle est l’exemple parfait de ce qu’il ne faut pas faire lorsqu’on veut être un élu politique et pourtant elle vient d’être reconduite à son poste par Macron. Il devient de plus en plus évident pour tous que ces gens ne sont pas choisis pour leurs qualités mais plutôt pour leurs défauts…



L’élue des Bouches-du-Rhône aurait utilisé son enveloppe d’avance de frais de mandat pour des dépenses personnelles. D’anciens assistants parlementaires témoignent également d’une relation de travail anxiogène.

Dépenses excessives, management “brutal” de ses assistants parlementaires… Selon une enquête de Marsactu, relayée sur le site de Mediapart ce vendredi 20 mai, Claire Pitollat, la députée LREM des Bouches-du-Rhône, candidate à sa réélection aux législatives de juin, aurait eu un premier mandat parsemé d’embûches, tant du point de vue de ses dépenses que de celui de la gestion de ses collaborateurs. D’abord, l’élue aurait fait l’objet d’un redressement de la part de la déontologue de l’Assemblée nationale pour ses dépenses effectuées en 2018. Normalement, chaque député dispose en plus de sa rémunération d’une avance de frais de mandat (AFM) de 5.373 euros par mois, destinée à faire face aux dépenses liées à l’exercice de son mandat. Il existe une liste des dépenses éligibles et inéligibles, les frais de mandat pris en charge devant avoir un caractère raisonnable.

Or, en 2018, l’élue aurait utilisé cette enveloppe pour des dépenses inéligibles. Elle aurait eu à rembourser près de 1.500 euros. Et la députée aurait également été rappelée à l’ordre par la déontologue, dans un courrier de mai 2020 que Marsactu s’est procuré, en particulier sur ses “frais de déplacement” qui “doivent conserver un caractère raisonnable”. Des trajets vers un lieu de vacances sont notamment mis en cause : “des dépenses de taxi éligibles et respectant le caractère raisonnable”, avance pour sa part la députée. De même, l’élue aurait effectué, selon Marsactu, des dépenses de vêtements pour 2.000 euros qui sont normalement remboursées si elles sont “raisonnables”. Claire Pitollat s’est défendue en expliquant qu’il s’agissait de deux tailleurs de différentes couleurs, un achat qui reste “exceptionnel”, rapporte le site web d’information locale…

Source: Capital

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