Un des vaccins les plus en avance du laboratoire Inovio Pharmaceuticals utilise des cellules de bébés avortés ! N’est-ce pas merveilleux ! On tue d’abord des bébés, on facilite les avortements normaux ou médicaux en prolongeant les délais, puis on n’enterre pas les fœtus aspirés puisque les laboratoires vont pouvoir les utiliser pour leurs vaccins !!! On n’est vraiment pas loin du cannibalisme, voire de la sorcellerie ! On imagine que les cliniques qui pratiquent l’avortement, loin de céder gratuitement à Big Pharma ces corps meurtris, vont les commercialiser !
Ajoutons qu’ils ne font pas ça que pour les vaccins puisque l’on retrouve ces techniques monstrueuses dans l’alimentation générale : Pepsi, Lipton, Frappuccino, Gatorade… Et dire qu’ils ont fait toute une histoire pour de la viande de cheval dans des lasagnes alors qu’il s’agit ici de cellules fœtales humaines :
Parmi les sociétés pharmaceutiques qui développement actuellement un vaccin contre le coronavirus, au moins cinq d’entre elles utilisent pour ce faire des cellules issues de foetus avortés. Astra Zeneca (en partenariat avec l’Université d’Oxford), Moderna Therapeutics, CanSino Biologics/Beijing Institute of Biotechnology, et Inovio Pharmaceuticals font ainsi usage d’une lignée de cellules[1] de rein de foetus dénommée HEK-293, issue d’un foetus avorté en 1972 aux Pays-Bas. Quant à la firme Janssen, société pharmaceutique de Johnson & Johnson, elle a recours à la lignée de cellules foetales PER.C6, dérivée du tissu rétinien d’un fœtus de 4 mois avorté aux Pays-Bas en 1985.
L’utilisation de cellules issues de fœtus avortés pour produire des vaccins n’est pas nouvelle. Elle a cours depuis les années 60 et a déjà mené à différents vaccins, dont ceux contre la rubéole, la varicelle, l’hépatite A et le zona. Dans le cadre du développement de vaccins contre le Covid-19, ces cellules sont utilisées pour produire soit des vecteurs viraux (adénovirus) qui transporteront les gènes du nouveau coronavirus, soit la protéine de spicule du coronavirus, qui stimulera une réponse immunitaire. Les laboratoires pharmaceutiques préfèrent généralement utiliser des cellules issues de fœtus plutôt que des cellules adultes qui vieillissent plus vite et cessent de se diviser. Les cellules fœtales sont aussi moins susceptibles d’être contaminées par des virus ou des bactéries, ou d’avoir subi des mutations génétiques.
Pourtant, des alternatives ne posant pas le problème éthique de l’origine de ces cellules existent. Pour créer leur vaccin contre le coronavirus, les sociétés Novavax, Sanofi Pasteur, GlaxoSmithKline (GSK), et Sinovac, par exemple, utilisent des lignées de cellules dérivées de façon éthique, de provenance adulte ou animale. Selon David Prentice, directeur de recherche à l’Institut Charlotte Lozier, d’autres technologies sont disponibles pour fabriquer les adénovirus, notamment via l’usage de cellules prélevées lors d’amniocentèses. Une autre façon éthique de procéder serait d’utiliser des cellules issues de foetus décédés naturellement, et pour lesquels les parents ont consenti au prélèvement.
Près de 2 milliards de dollars ont été accordés par le gouvernement des Etats-Unis pour le développement de vaccins contre le Covid-19 dont on sait qu’ils reposent sur des cellules issues de foetus avortés. Pour rappel, depuis 2019 le gouvernement américain ne finance plus – dans ses instituts nationaux de recherche – les projets impliquant l’utilisation de tissus foetaux nouvellement obtenus suite à un avortement. Or, cette interdiction ne s’étend pas aux lignées cellulaires préexistantes à la nouvelle réglementation.
Dans la mesure où des alternatives existent, est-il justifié d’avoir recours à des cellules qui sont issues, même de façon éloignée, de fœtus dont on a volontairement provoqué la mort ? Il doit être fait appel tout particulièrement à la responsabilité de ceux qui financent de tels projets de recherche, afin d’inciter le monde pharmaceutique à privilégier des moyens issus de pratiques respectueuses de la vie et de la dignité humaines.
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