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— IIID (@IIIDtweet) 4 mai 2018
Il y a plusieurs points à éclaircir et analyser concernant la longueur du texte sur les conditions générales d’utilisation des réseaux sociaux des géants du Web. Premièrement, ils sont trop longs pour être lus par les consommateurs ; on imagine qu’une personne sur 100 000 s’est amusée à aller jusqu’au bout des CGU. Il est d’ailleurs évident que ces conditions générales sont là pour protéger l’entreprise et non le client. Preuve en est, s’il y a litige, ce contrat exige que le procès se fasse aux États-Unis comme si c’était envisageable et réalisable par un simple client portugais, français ou polonais !
Pire que tout, à l’Assemblée nationale, au niveau de l’État, absolument personne n’a estimé nécessaire de légiférer pour protéger davantage le client sur le territoire français, ce qui serait la moindre des choses en matière de souveraineté judiciaire. C’est ce qui se passe également pour les banques, les multinationales… et c’est ce qui prouve encore une fois la perte de souveraineté et l’absence totale d’État sauf lorsqu’il est question d’envoyer des détachements de CRS pendant les manifestations…