Et dire que certains nous ont présenté ce clown comme le sauveur de la planète, comme un antisioniste qui allait freiner les délires millénaristes de Nétanyahou et de sa secte ! Souvenez-vous que Donald Trump avait fait campagne en expliquant qu’il allait rapatrier les soldats et mettre fin aux guerres impérialistes injustes et très coûteuses. C’est exactement l’inverse qui se réalise ; il s’aventure même sur le terrain du parjure puisqu’il ne veut pas respecter un accord que son état a signé avec l’Iran et d’autres nations en 2015 en avançant des prétextes bidonnés par ses amis israhelliens !
On ne peut pas faire pire en matière de trahison et de soumission au lobby sioniste israhellien. Tout le monde le savait, c’était évident, ça ne pouvait que finir ainsi comme d’habitude, sauf pour les thuriféraires béats et stupides de Trump…
En pleine crise sur le nucléaire iranien, l’hebdomadaire britannique The Observer révèle que le président Trump aurait engagé des enquêteurs israéliens afin de « salir » les négociateurs américains de l’accord.
De quoi cristalliser à nouveaux les tensions autour de la question iranienne. D’après le journal britannique The Observer, Donald Trump aurait engagé les services d’une agence de renseignements privée israélienne pour mener une campagne discriminatoire contre les négociateurs américains, et ainsi discréditer l’accord sur le nucléaire iranien conclu sous l’administration Obama en 2015.
Des collaborateurs du président américain auraient fait appel à des enquêteurs israéliens en mai 2017, quelques jours après une visite d’état de Donald Trump en Israël, pour les charger de trouver des éléments à charge contre Ben Rhodes et Colin Kahl, les principaux négociateurs américains de l’accord JCPOA (Joint comprehensive plan of action), conclu entre l’Iran et les cinq puissances nucléaires du Conseil de sécurité de l’ONU (Chine, Etat-Unis, France, Royaume-Uni, Russie) ainsi que l’Allemagne. Les enquêteurs israéliens devaient fouiller dans la vie personnelle de ces deux anciens conseillers à la sécurité nationale auprès de Barack Obama et de l’ancien vice-président Joe Biden.
The New Yorker a surenchéri affirmant que la femme de Ben Rhodes, Ann Norris, avait été contactée par e-mail en juin 2017 par une prétendue société de production basée à Londres, Shell Productions, au sujet d’un film qui suivrait la vie personnelle des fonctionnaires du gouvernement américain, et donc de son mari. L’article relate aussi que l’épouse de Colin Kahl, Rebecca Kahl, a également été contactée par mail. Une représentante d’une société de gestion de fortune londonienne souhaitait la rencontrer pour discuter de l’école de sa fille, la société lançant un programme autour de l’éducation […]