Il est tout de même inconcevable d’apprendre qu’une société israélienne puisse pirater l’application WhatsApp utilisée par des millions de Français sans que le gouvernement ne réagisse ! Si la Chine avait agi de la sorte, ou tout simplement la Russie ou la Turquie, le scandale aurait eu plus de retentissement avec une plus large médiatisation. Mais dès qu’il s’agit de l’entité sioniste criminelle, à l’instar des USA qui piratent l’Élysée et le Quai d’Orsay depuis des années, il n’y a aucune conséquence ni réaction diplomatique sérieuse. Ce qui prouve encore une fois à quel degré de soumission s’astreignent les exécutifs en France et comment ces derniers s’aplatissent devant le lobby sioniste.
La société israélienne NSO Group, qui a développé ce logiciel utilisé par de nombreux gouvernements, a nié toute responsabilité dans ce piratage.
Quelques jours après le piratage de l’application WhatsApp, des activistes et proches de l’ONG Amnesty International ont porté plainte, samedi 18 mai, contre la société israélienne NSO Group. Celle-ci est soupçonnée d’avoir conçu le logiciel espion utilisé par les hackers, rapporte The Guardian (en anglais).
En raison d’une faille de sécurité, la très populaire application de messagerie cryptée détenue par Facebook a été infectée par un logiciel donnant accès au contenu des smartphones, provoquant de nouvelles inquiétudes sur la sécurité des téléphones portables. Une fois le logiciel installé, les pirates pouvaient notamment écouter ou visualiser l’environnement du propriétaire du smartphone, sans qu’il s’en rende compte.
Selon le quotidien britannique, une cinquantaine de membres et de proches d’Amnesty International ont demandé au ministre de la Défense israélien d’interdire l’exportation du logiciel Pégase de la firme NSO, mise en cause dans cette affaire. « Les membres d’Amnesty International craignent continuellement, et à raison, d’être ciblés et de faire l’objet de surveillance », résume un affidavit (en anglais) mis en ligne par l’organisation.Un usage « douteux » du logiciel de surveillance
De son côté, la société israélienne nie toute responsabilité dans ce piratage, affirmant que sa technologie est…
Photo d’illustration : application WhatsApp installée sur un smartphone, le 26 septembre 2017. (NICOLAS ASFOURI / AFP)