Nous avons tous pu constater à quel point l’ambassadeur d’Algérie en France s’est ridiculisé sur CNews lorsqu’il avait apporté son soutien ridicule à la candidature de Bouteflika malgré son état de santé désastreux, juste avant son retrait définitif. Rappelons également que c’est ce même Bouteflika qui s’était rendu coupable d’avoir volé 6 milliards de centimes lorsqu’il était ministre des Affaires étrangères en détournant des caisses des différents consulats et ambassades dans le monde les reliquats des budgets annuels ! Du coup, on peut comprendre que ce genre de magouilles puissent continuer aujourd’hui avec un mépris total des lois, car qui se ressemble s’assemble. On comprend également pourquoi ces gens ne veulent pas lâcher leur poste car ils sont tombés sur une vache grassouillette aux pis gorgés de bon lait dont ils veulent profiter jusqu’à la dernière goutte…
Sous le titre choc « Licenciements abusifs, violences… les ardoises de la diplomatie algérienne en France », le journal français Le Parisien révèle, ce samedi 20 avril que l’ambassade d’Algérie à Paris et des consulats en région parisienne ont été condamnés « à plusieurs reprises » « pour des violences sur les employés et le non-respect du Code du travail ».
Mais « l’État algérien refuse pourtant de dédommager les victimes », ajoute le média français. L’Algérie se retrancherait derrière son statut « d’État souverain », selon Le Parisien.
Le journal français cite des témoignages de plusieurs personnes. Parmi elles, Abdelkrim, 53 ans, père de deux enfants, ancien employé de l’ambassade d’Algérie…