On se demande bien pourquoi et comment cette banque de voyous est toujours ouverte. Là est la seule question utile à poser. La réponse est simple : les banksters contrôlent l’Occident et le monde, font les lois, corrompent les politiques, se paient les médias… Rappelons que c’est cette même banque qui a truqué les comptes de la Grèce mettant ainsi l’Europe au bord du gouffre… On est ici, encore une fois, face à une preuve criante de l’existence du complot, de l’inutilité des gouvernants et de la faillite de la justice.
New York – Les autorités américaines tentent de déterminer si la banque d’affaires Goldman Sachs a respecté la loi dans le cadre du scandale qui touche le fonds souverain Malaysia Development Berhad (1MDB), indique le Wall Street Journal lundi.
Selon le journal, les enquêteurs veulent notamment savoir pourquoi la célèbre banque new-yorkaise n’a pas averti les autorités de transactions jugées suspectes concernant les fonds levés lors d’une émission obligataire au profit de 1MDB organisée par la banque elle-même.
Ces fonds auraient notamment transité par une banque suisse, la BSI, avant d’être envoyés pour partie vers d’autres comptes et de disparaître.
Des sources proches du dossier aux États-Unis avaient déjà indiqué début mars que les enquêteurs voulaient entendre Tim Leissner, ex-président de Goldman Sachs en Asie du sud-Est, dans le cadre de leurs investigations.
Le scandale 1MDB touche notamment le Premier ministre malaisien Najib Razak. Un versement de quelque 700 millions de dollars provenant de l’argent levé par 1MDB a notamment été viré vers ses comptes personnels, indique le journal citant des documents de l’enquête.
Le Wall Street Journal rappelle que Goldman Sachs avait souscrit l’entièreté d’une émission de 3 milliards de dollars d’obligations de 1MDB en mars 2013.
Cet argent avait ensuite été transféré vers la BSI, une banque qui a fait depuis l’objet d’enquêtes des autorités suisses qui réclament maintenant sa dissolution. Il avait ensuite été envoyé vers d’autres comptes dont ceux de M. Razak qui s’en serait notamment servi pour des dépenses électorales alors que les fonds avaient en principe été levés pour une opération immobilière en Malaisie. M. Razak a pour sa part affirmé que les fonds qui avaient été virés sur son compte provenaient d’Arabie saoudite et constituaient une donation.
Toujours selon le WSJ, un avocat qui travaillait pour Goldman Sachs dans le cadre de cette transaction financière aurait lui-même alerté la banque sur les mouvements de fonds qu’il considérait suspects mais n’aurait pas été écouté.
Les États-Unis enquêtent dans cette affaire dans le cadre de la loi anti-corruption à l’étranger (Foreign Corrupt Practices Act, FCPA) ayant déjà servi pour de nombreuses […]
L’Express-l’Expansion / AFP