Tiens tiens, encore un pédocriminel à l’éducation nationale et pourtant pas grand bruit dans les médias mainstream, contrairement à ce qu’il se passe lorsqu’il est question de catholiques par exemple. II doit y en avoir d’ailleurs un grand nombre actuellement en poste dans un milieu scolaire avec à proximité, des enfants en grand danger. Que fait la ministre NVB ? Pas grand chose, tout va bien, même le genre n’est pas enseigné à l’école, assure-t-elle, malgré les nombreuses preuves attestant du contraire.
Pour finir, on ne peut pas ignorer le pourquoi du ridicule de la peine : 3 ans dont 6 mois avec sursis, ce qui fera libérer un prédateur criminel extrêmement dangereux dans pas longtemps, que l’on retrouvera dans nos rues !!! Il aura tout le temps et le loisir de récidiver en détruisant d’autres vies…
Cet enseignant de 46 ans avait été arrêté il y a un an en possession de plus de 60 000 fichiers pornographiques.
Des milliers d’images pédopornographiques saisies. Un ancien directeur d’école de Cadaujac (Gironde) a été condamné à trois ans de prison, dont un avec sursis, pour détention et diffusion d’images à caractère pédopornographique et violences sans préméditation, mercredi 12 octobre. Cette condamnation est assortie d’une mise à l’épreuve pendant deux ans avec obligation de soins et d’indemniser les victimes.
Cet enseignant de 46 ans avait été arrêté, il y a un an, pour détention de plus de 60.000 fichiers pornographiques, avec des images venant de l’étranger, et la prise de photos et vidéos de ses élèves lors de sorties scolaires, à leur insu. Les scènes sexuelles, téléchargées sur internet, n’ont pas été filmées par le directeur d’école de Cadaujac.
Suspendu de l’Éducation nationale
« C’est une sanction sévère mais juste car il y avait beaucoup de visionnages, beaucoup de viols, d’images insoutenables », a déclaré l’avocate Noémie Saidi-Cottier, de l’association Innocence en danger. Plusieurs enfants de communes limitrophes de Bordeaux, où l’homme a été en poste, ont été reconnus sur les images par leurs instituteurs et une quinzaine de familles s’étaient constituées parties civiles, a-t-elle précisé.
Les réquisitions du parquet, trois ans de prison dont six mois avec sursis, ont été quasiment suivies. Le directeur d’école encourait sept ans d’emprisonnement pour les faits de captation et diffusion des images.
Célibataire, enseignant depuis 1995, le suspect n’avait aucun antécédent judiciaire et n’avait jamais fait l’objet de plainte ou d’une procédure administrative dans les établissements où il a été en poste, ni à Cadaujac depuis 2013, ni avant. Il avait fait une tentative de suicide, lors de son interpellation le 27 octobre 2015, à la suite d’une enquête de police ouverte après une alerte lancée par un proche. L’enseignant avait été suspendu le 2 novembre 2015 par l’Éducation nationale.
France TV Info / AFP