Comme vous pouvez le constater ci-dessous, la définition de « Traite des êtres humains » sur Wikipédia inclut la GPA, c’est-à-dire la grossesse pour autrui, qui est considérée comme de l’esclavage. Alors que sur les plateaux télé des malades mentaux et des déséquilibrés décadents multiplient les prestations folles tentant de faire passer cette monstruosité comme un acte de générosité, un « progrès » essentiel au bonheur de l’Humanité, la réalité s’impose à tous dans le monde entier, vendre un être humain est un crime. Point.
La traite des êtres humains regroupe plusieurs formes d’exploitation des êtres humains, les plus courantes étant l’exploitation sexuelle1, la prostitution forcée, l’esclavage — y compris l’esclavage domestique1 — et le travail forcé1, mais on peut aussi y inclure, entre autres : le trafic d’organes2,1, la gestation pour autrui3,4,5, le mariage forcé1 ou la mendicité forcée6. Le terme de trafic d’êtres humains peut être utilisé dans la presse, tandis que le terme juridique est « traite des êtres humains ». Une journée mondiale y est associée, le 30 juillet proclamée « Journée mondiale de la dignité des victimes de la traite d’êtres humains ».
Source : Wikipedia.