Cette information est délirante et pourtant réelle puisque l’amendement existe comme vous pouvez le constater en bas de cet article en cliquant sur le lien Source. Il est également copié-collé ci-dessous où tout le monde peut le lire. À l’instar du Togo, un député français appartenant au macroniste Modem de François Bayrou, Erwan Balanant, a déposé un amendement pour supprimer le suffrage universel à la présidentielle en le remplaçant par une élection d’un collège de grands élus (+ quelques gamelleurs de la société civile) et en passant du quinquennat au septennat ! Tout le monde a compris que cette grossière manipulation était téléguidée par Emmanuel macron afin de se maintenir au pouvoir.
C’est de pire en pire, les parjures se multiplient, les manipulations des chiffres également, les magouilles sont de plus en plus nombreuses et l’incompétence des élites dirigeantes de plus en plus visible pour tous, la France est en train de sombrer dans une dictature encore plus humiliante que les toutes les républiques bananière réunies ! C’est ce qui arrive lorsque le pouvoir est détenu par un bankster et que la dépravation sexuelle et la consommation de drogues sont généralisées…
ARTICLE ADDITIONNEL
APRÈS L’ARTICLE 2, insérer l’article suivant :
Après le mot : « pour », la fin du premier alinéa de l’article 6 de la Constitution est ainsi rédigée :
« sept ans par un collège électoral. »
EXPOSÉ SOMMAIRE
Cet amendement d’appel vise ouvrir un débat sur la forte présidentialisation de la 5ème République
et ses conséquences. Les qualités et les talents reconnus du Président de la République aujourd’hui
n’empêche pas cette tendance, qui créée un déséquilibre dans nos pouvoirs, notamment s’agissant
des pouvoirs exécutifs et législatifs. Cette présidentialisation est accentuée par deux points : le
mode de scrutin au suffrage universel direct et la durée du mandat, trop courte pour donner le temps
de présider.
C’est la raison pour laquelle, pour retrouver cet équilibre, cet amendement propose que le Président
de la République soit élu pour sept ans par un collège d’électeur. Ce collège serait composé
de membres du Parlement, de conseils généraux et des assemblées de territoires d’outre-mer, des
représentants élus des conseils municipaux comme c’était le cas en 1958 mais aussi de représentants
du Conseil économique, social et environnemental, de représentants de forces syndicales et de
représentants de la société civile. La composition de ce collège électoral sera déterminée par la loi
organique à laquelle renvoie l’article 6 de la Constitution.