Il est évident que oui. Il s’agit, ici, de mixité tant du corps enseignant, que des élèves ! Les deux questions sont essentielles pour comprendre l’échec scolaire catastrophique des dernières décennies. L’agressivité des journaleuse est assez caractéristique de cette époque médiocre où les imbéciles sont rois et les ignorants maîtres. Les statistiques sont là ; depuis l’imposition de la mixité en classe entre les enfants, on constate avec stupeur et effroi une chute vertigineuse du niveau scolaire. Point. Le reste n’est que charabia sans intérêt.
Stéphane Clerget, pédopsychiatre, lance une alerte : les garçons seraient en danger car en manque de repères masculins. Ce malaise serait perceptible dès l’école. En effet, 60% des décrocheurs sont des garçons, et les filles réussissent mieux leur scolarité. Pour Stéphane Clerget, c’est une conséquence d’un manque de repères masculins, notamment chez les enseignants. Il prône la parité. « Les garçons seraient sans doute plus stimulés. Il y a des processus d’imitation, d’identification ».
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