Ainsi donc une escouade de sept lavettes simiesques escortant l’infâme putain permanentée de l’Europe a pris de nouvelles sanctions contre la Sainte Russie qui a gagné la guerre d’Ukraine. Les sacrificateurs d’enfants à Satan ont ordonné à ces immondes macaques ricanants de défendre la plaque tournante des plus diaboliques trafics, alors ils la défendent comme un seul chien. Cette vermine ira jusqu’au fond du gouffre sans fond de l’ignominie, du chaos et du crime, et toujours en ricanant. Souiller et tuer l’innocence de la vie, voilà le droit qu’ils réclament par des rivières de sang, la liberté qu’ils imposent sous des déluges de bombes et de sanctions. Ils ne trouvent leur bonheur que dans l’abomination, la pourriture, la gangrène… Ils n’atteignent l’extase qu’au paroxysme de la bestialité, du sadisme, de la haine et du mépris sous leur chemise blanche humaniste et leur discours file-en-tropiques. Mais leur sort est scellé, le sort de la Bête à sept têtes escortant la Grande prostituée. La Grande putain devrait vraiment se méfier car dans le chapitre 17 verset 16 de l’Apocalypse de Jean, il est dit ceci : « Les dix cornes que tu as vues et la Bête haïront la prostituée, elles la rendront solitaire et nue. Elles mangeront ses chairs et la brûleront au feu ». Quant aux sept macaques « rois de la Terre » qui se moquent de « celui qui est monté sur un cheval », voilà ce qui les attend, au chapitre 19 : « Ils avaient rassemblé leurs armées pour combattre celui qui est monté sur un cheval, et son armée. La Bête (à sept têtes de macaques) fut capturée et, avec elle, le faux prophète (Kill Bill) qui avait accompli des signes impressionnants pour le compte de la Bête. Par ces signes, il avait trompé les hommes qui portaient la marque (vaccinale) de la Bête et qui avaient adoré son image (messianique vaccinale). Ils furent tous deux jetés vifs dans l’étang ardent de feu et de soufre. Les autres hommes furent tués par l’épée qui sort de la bouche de celui qui était monté sur le cheval. Et tous les oiseaux se rassasièrent de leur chair ». Laissons donc la justice de l’Apocalypse faire son travail, laissons la démasquer les âmes méphitiques, perfides, hypocrites, jalouses… Et accomplissons notre apocalypse intérieure, comme dit Jean-Yves Leloup, l’apocalypse de nos attachements périssables. L’apocalypse de notre âme, de notre cœur, de notre esprit. On confond souvent l’âme, le cœur et l’esprit… Essayons d’y voir clair. L’âme est de nature spirituelle, sa nature est donc esprit. Quant au cœur, c’est la manifestation de l’âme dans la chair. Notons au passage que la ruse et l’intelligence sont la manifestation de l’esprit dans la chair. L’esprit est donc le but suprême. La plus haute manifestation de l’esprit est le Verbe, le verbe divin, la pensée la plus pure, avant toute idée, tout concept, tout mot, toute formalisation… la pensée la plus claire, la plus souveraine, la plus limpide, la plus transparente… la plus transperçante aussi… Le Verbe divin n’est pas constitué de mots ou d’idées, le Verbe divin c’est le sens avant toute formalisation du langage, le sens qui ne se distingue pas de son expression, le signifié qui ne s’aliène pas dans un signifiant, le sens qui n’est pas séparé du sensible, le sens qui précisément crée, détermine le sensible, qui n’en est finalement qu’un reflet. Le Verbe divin c’est le sens qui n’est pas limité par son expression. Le sens du Verbe divin est infini, et de cet infini naît l’espace physique infini, qui n’en est qu’un reflet, qu’un simulacre. Le sens du Verbe divin c’est l’éternité de la vie portée par ce Verbe, d’où naît le temps, l’écoulement du temps. On pourrait dire que le temps n’est qu’un reflet, qu’un simulacre de l’éternité. Le Verbe divin ne résonne pas dans l’espace et le temps, c’est plutôt l’inverse, l’espace et le temps sont comme des résonances de ce Verbe. En-deçà du Verbe divin, il y a donc l’esprit le plus pur antérieur ontologiquement à sa manifestation par le Verbe, l’esprit qui se donne souverainement en toute innocence sans la moindre conscience, sans la moindre conscience morale, sans la moindre conscience du bien ou du mal. La nature de cet esprit c’est l’amour, l’amour qui se donne souverainement et intarissablement sans la moindre raison, sans la moindre cause, sans la moindre conscience et sans la moindre restriction. L’amour qui ne juge pas. L’esprit divin ne juge pas, il ne peut pas juger puisqu’il n’a conscience ni du bien ni du mal, puisqu’il n’a pas de conscience, car la conscience implique un retour sur soi, et que l’esprit divin ne revient pas sur son don, il n’est que don, don de lui-même. Don de sa perfection, don de son harmonie ; ce qu’on appelle la « justice divine » n’est finalement qu’une image de l’harmonie divine. L’esprit divin non seulement ne juge pas et ne rend pas la justice, mais il ne punit pas non plus et ne récompense pas. La justice s’accomplit selon l’harmonie divine. Quant au pardon, c’est un don divin. L’esprit divin ne prend aucune initiative, aucune décision et ne fait aucun choix, car pour faire un choix il faut être dans la dualité, or l’esprit divin n’est pas dans la dualité, il ignore la dualité, qui n’est qu’un reflet… la dualité du bien et du mal… la dualité de la justice et de l’injustice… la dualité scientifique du sujet et de l’objet… la dualité de l’âme sujette et de l’objet de sa quête… la dualité de la naissance et de la mort… Le don invincible de l’amour abolit toute dualité, telle est la loi de l’esprit, la loi qui établira le royaume divin sur Terre ; les forces de la dualité qui y résistent seront inexorablement détruites. Accomplir l’apocalypse intérieure de son âme, c’est faire que l’amour qu’elle porte puisse se donner, tant il est vrai que l’amour souffre de ne ne pas se donner, comme disait le Christ.
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